Mes chers amis (mes chers amis, levez vos verres... ah non, je suis encore dans le mode «broue» du week-end dernier, faut croire), le monde télévisuel est aujourd'hui secoué par un puissant séisme! En effet, le faaaabuleux [hein, quoi, sarcastique, vous dites?] réseau TVA pourrait ressortir des boules à mites une antiquité des temps obscurs. Un veston démodé de son placard. Une momie putréfiée de son sarcophage. Un reste moisi de son frigo. Une vieille affaire, euh, bref vous avez compris le principe.
Selon La Presse qui a profité d'une fuite provenant d'on ne sait trop où [tou dou dou dou dou dou], la compagnie Sherpas Films aurait obtenu le financement nécessaire à la mise branle d'un projet qui exhumerait de terre une partie de la bande de collégiens que formaient les acteurs d'un feuilleton savonneux (version plus romanesque d'un soap opera, quoi) made in Québec: Chambres en ville.
La trame de cette toute nouvelle série, qui portera vraisemblablement le titre *ô combien transcendant* Les enfants rois, gravitera autour des rejetons de Pete, Lola et leurs copains et/ou ennemis co-chambreurs. Personnellement, j'aurais opté pour un titre à la hauteur du ridicule d'une telle suite, à savoir Chambres en banlieue, parce que c'est bien connu, les citadins, une fois parents, bah ils s'installent en banlieue. Mais bon, on ne m'a pas demandé mon avis. Tant pis.
Peut-être est-ce mon côté négatif qui surgit inopinément de sa torpeur d'avant-dernier-jour-de-la-semaine-demain-thanks-God-it's-Friday (mon dark side, si vous préférez... Luke, I am your father!), mais je vois poindre à l'horizon un épais brouillard qui dissimule pourtant bien mal l'aura de fiasco qui entoure ce projet. Laissez donc les morts reposer en paix. Certes, Chambres en ville a connu ses années de gloire (188 épisodes étalés sur sept ans, entre 1989 et 1996, j'en conviens, ce n'est pas de la petite bière - hein, encore de la bière! diantre, me serais-je donc vautrée à jamais dans la débauche liquide (comme dirait ma cousine Dodo), telle une beeraholique pathétique digne d'Homer Simpson?) et a marqué la génération de jeunes adultes dont je fais partie. Toutefois, inutile de le nier: ce téléroman a fini par s'essoufler. D'ailleurs, les deux ou trois dernières saisons m'ont paru moins emballantes. Plates. Telles des bouteilles de San Pellegrino laissées trop longtemps au frigo, avec les restes moisis.
Chroniques d'un flop annoncé? Hum. On verra.
Toujours dans le domaine télévisuel, j'ai appris aujourd'hui en furetant au gré des vagues intergalactiques (et avec un mois de retard), que Luc Dionne serait en train de rédiger une suite à la très excellentissime série Omertà: La loi du silence. Néanmoins, une guérilla oppose deux importants réseaux de télé, en raison notamment d'une histoire de droits d'auteurs, ce qui pourrait bien faire avorter le projet.
Bah, la solution se trouve tout juste sous vos yeux. La SRC dépose gentiment une carcasse de poisson sanguignolant dans la boîte aux lettres de TVA. TVA se calme alors le pompom et la diffusion peut avoir lieu. Simplice, no?
Cette saga relatant les bons coups et les déboires d'une escouade policière aux prises avec les membres de la mafia montréalaise m'avait à l'époque presque donné envie de devenir mafioso - version talons hauts et gloss rose, il va sans dire. Sans farce. Je n'ai raté qu'un seul épisode sur les trois saisons qui ont été présentées au petit écran à la fin des années 1990, et pour cause, je souffrais d'une horrible indigestion causée par euh, enfin, je vous épargne la suite de l'histoire un tantinet trop euh, médicale.
Bordel, ÇA ça mériterait de reprendre l'affiche!!!!! Pas un téléroman mettant en vedettes les chérubins gâtés des ex-locataires de Louise. La vie, quelle injustice. :-p
Selon La Presse qui a profité d'une fuite provenant d'on ne sait trop où [tou dou dou dou dou dou], la compagnie Sherpas Films aurait obtenu le financement nécessaire à la mise branle d'un projet qui exhumerait de terre une partie de la bande de collégiens que formaient les acteurs d'un feuilleton savonneux (version plus romanesque d'un soap opera, quoi) made in Québec: Chambres en ville.
La trame de cette toute nouvelle série, qui portera vraisemblablement le titre *ô combien transcendant* Les enfants rois, gravitera autour des rejetons de Pete, Lola et leurs copains et/ou ennemis co-chambreurs. Personnellement, j'aurais opté pour un titre à la hauteur du ridicule d'une telle suite, à savoir Chambres en banlieue, parce que c'est bien connu, les citadins, une fois parents, bah ils s'installent en banlieue. Mais bon, on ne m'a pas demandé mon avis. Tant pis.
Peut-être est-ce mon côté négatif qui surgit inopinément de sa torpeur d'avant-dernier-jour-de-la-semaine-demain-thanks-God-it's-Friday (mon dark side, si vous préférez... Luke, I am your father!), mais je vois poindre à l'horizon un épais brouillard qui dissimule pourtant bien mal l'aura de fiasco qui entoure ce projet. Laissez donc les morts reposer en paix. Certes, Chambres en ville a connu ses années de gloire (188 épisodes étalés sur sept ans, entre 1989 et 1996, j'en conviens, ce n'est pas de la petite bière - hein, encore de la bière! diantre, me serais-je donc vautrée à jamais dans la débauche liquide (comme dirait ma cousine Dodo), telle une beeraholique pathétique digne d'Homer Simpson?) et a marqué la génération de jeunes adultes dont je fais partie. Toutefois, inutile de le nier: ce téléroman a fini par s'essoufler. D'ailleurs, les deux ou trois dernières saisons m'ont paru moins emballantes. Plates. Telles des bouteilles de San Pellegrino laissées trop longtemps au frigo, avec les restes moisis.
Chroniques d'un flop annoncé? Hum. On verra.
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Toujours dans le domaine télévisuel, j'ai appris aujourd'hui en furetant au gré des vagues intergalactiques (et avec un mois de retard), que Luc Dionne serait en train de rédiger une suite à la très excellentissime série Omertà: La loi du silence. Néanmoins, une guérilla oppose deux importants réseaux de télé, en raison notamment d'une histoire de droits d'auteurs, ce qui pourrait bien faire avorter le projet.
Bah, la solution se trouve tout juste sous vos yeux. La SRC dépose gentiment une carcasse de poisson sanguignolant dans la boîte aux lettres de TVA. TVA se calme alors le pompom et la diffusion peut avoir lieu. Simplice, no?
Cette saga relatant les bons coups et les déboires d'une escouade policière aux prises avec les membres de la mafia montréalaise m'avait à l'époque presque donné envie de devenir mafioso - version talons hauts et gloss rose, il va sans dire. Sans farce. Je n'ai raté qu'un seul épisode sur les trois saisons qui ont été présentées au petit écran à la fin des années 1990, et pour cause, je souffrais d'une horrible indigestion causée par euh, enfin, je vous épargne la suite de l'histoire un tantinet trop euh, médicale.
Bordel, ÇA ça mériterait de reprendre l'affiche!!!!! Pas un téléroman mettant en vedettes les chérubins gâtés des ex-locataires de Louise. La vie, quelle injustice. :-p
7 commentaires:
Observations en vrac:
1. Attends de voir le punch: Francis Reddy va être encore au cégep!
2. Si Sylvie Payette nous refait le coup de Noémie/Marie-Josée Croze à moitié tout nu pour hameçener le spectateur, ça ne marchera pas. Pourquoi en effet je me contenterai de ça alors que je peux louer "Munich"? ;-)
3. Si ça se trouve, TVA va également donner le feu vert au projet de spinoff d'Épopée Rock. Et si ça se concrétise, je demande l'asile politique au Groenland! ;-)
Le Groenland accepte les réfugiés politiques? ;-)
Bien sûr. Tu ne savais pas? ;-)
Ah, bien, je me coucherai moins niaiseuse ce soir!
Et je crois que Marie-Josée Croze est probablement devenue une star beaucoup trop "internationale" pour participer à ce genre de série maintenant! ;-)
Spontanément: Beûrk!
Après légère réflexion: Est-ce vraiment surprenant?
Je n'en dis pas plus.
...
Mais c'est qu'on ne sait plus quoi inventer au Québec, bon Dieu! >__> Pour la plupart des téléspectateurs qui aiment Loft Story, ça va sûrement les éblouir cette "nouvelle série"!
Dommage pour Omertà! Dès que quelque chose/quelqu'un a du potentiel, il se fait tasser par la merde populaire glorifier par la populasse... Peut-être qu'on aurait de la chance si on ferait un reality show sur les mafiosi montréalais! Je me présente pour les auditions accompagnée de mon beau Chicago Typewriter!!!
D-max: Je crois qu'on ne sait plus quoi inventer!
Poisoned: Mafia Story! ;-)
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