Plus la semaine passe et plus je suis crevée. Ce matin, je dois aller au musée où je fais mon travail dirigé et l'envie n'y est pas. Je suis fatiguée, il pleut et ma motivation est en vacances.
J'ai presque terminé ma maîtrise. Il ne me reste que ce fichu travail à accomplir. Et le fastidieux rapport à rédiger. Je voudrais bien le remettre d'ici la fin de l'automne afin d'éviter de payer pour un autre semestre. Le problème est que j'ai été si occupée depuis quelques mois, que mon t.d. en a souffert quelque peu. Je le laisse de côté, je m'occupe de ce qui est plus urgent en premier. Le hic, c'est que tout me semble plus urgent ces temps-ci.
J'ai besoin d'un sérieux coup de pied au derrière.
vendredi, septembre 29, 2006
jeudi, septembre 28, 2006
Caffeine geek
Drôle de coïncidence. Hier, je déclarais que j'étais sur le point de remporter le trophée de la meilleure cliente à vie de la succursale du Starbuck's où je "sévis". Aujourd'hui, je m'y suis rendue, car je devais aller remettre des documents à des membres de l'asso pour une assemblée générale à l'université. Aussi bien joindre l'utile à l'agréable.
Lorsque je suis arrivée au comptoir pour commander, mon grande cappuccino était déjà prêt.
ÇA, c'est du service!
Un jour, simplement pour voir leur tronche, je crois que je vais commander autre chose. :-DDDD
Lorsque je suis arrivée au comptoir pour commander, mon grande cappuccino était déjà prêt.
ÇA, c'est du service!
Un jour, simplement pour voir leur tronche, je crois que je vais commander autre chose. :-DDDD
La saga - la suite de la suite!
Ce matin, alors que j'étais à l'université, j'ai décidé de passer un coup de fil à la section des frais de scolarité de l'Université avant 11h00 (évidemment, ils prennent les appels entre genre 9h et 11h le matin et ensuite entre 14h et 16h l'après-midi. Pas de quoi se tuer à l'ouvrage...).
Après une dizaine de minutes d'attente, debout devant un téléphone public, la ligne s'est enfin mise à sonner... Mais! À mon grand désarroi, après quelques sonneries, on m'a raccroché au nez! J'ai soudain eu très envie de canalyser ma rage en cognant frénétiquement le récepteur contre la boîte téléphonique, mais je me suis abstenue étant donné que j'étais dans un corridor très fréquenté.
J'ai pris une ou deux respirations et j'ai téléphoné à nouveau. J'ai expliqué mon problème à la jeune femme au bout du fil, qui était très perplexe face à la situation dans laquelle je me trouve présentement. Elle a trouvé très curieux que j'aie été facturée près d'une semaine après l'annulation de mon cours et un peu plus d'un mois après m'être inscrite (alors que le paiement devait passer dans les jours suivant l'inscription).
Hier, je me suis également rendue compte, en tentant de déchiffrer ma facture sur le site de l'université que la semaine dernière, mon cours a été d'abord annulé une première fois le 19 septembre, puis refacturé (toujours le 19 septembre), pour être ensuite annulé à nouveau le 20 septembre cette fois. Bizarrement, j'ai l'impression qu'ils se sont rendus compte que le 500 et quelques dollars ne m'avaient pas été facturés dès le départ, alors ils ont annulé le cours une première fois, pour me le facturer et pour ensuite le ré-annuler en bonne et due forme. Mais bon, peut-être est-ce de la pure paranoïa de ma part...
Finalement, la personne avec qui j'ai discuté m'a assûré que je ne serais en aucun cas pénalisée car l'annulation du cours avait bel et bien eu lieu. Seulement, pour le remboursement je dois attendre à la semaine prochaine. Étant donné que mon état de compte affiche maintenant un crédit de près de 400$, ce montant sera remboursé à même ma carte de crédit. Alléluia!
Ceci dit, si la semaine prochaine je m'aperçois que le montant ne m'a toujours pas été remboursé, je crois que je vais péter une coche. Et ça ne sera pas beau!!
Après une dizaine de minutes d'attente, debout devant un téléphone public, la ligne s'est enfin mise à sonner... Mais! À mon grand désarroi, après quelques sonneries, on m'a raccroché au nez! J'ai soudain eu très envie de canalyser ma rage en cognant frénétiquement le récepteur contre la boîte téléphonique, mais je me suis abstenue étant donné que j'étais dans un corridor très fréquenté.
J'ai pris une ou deux respirations et j'ai téléphoné à nouveau. J'ai expliqué mon problème à la jeune femme au bout du fil, qui était très perplexe face à la situation dans laquelle je me trouve présentement. Elle a trouvé très curieux que j'aie été facturée près d'une semaine après l'annulation de mon cours et un peu plus d'un mois après m'être inscrite (alors que le paiement devait passer dans les jours suivant l'inscription).
Hier, je me suis également rendue compte, en tentant de déchiffrer ma facture sur le site de l'université que la semaine dernière, mon cours a été d'abord annulé une première fois le 19 septembre, puis refacturé (toujours le 19 septembre), pour être ensuite annulé à nouveau le 20 septembre cette fois. Bizarrement, j'ai l'impression qu'ils se sont rendus compte que le 500 et quelques dollars ne m'avaient pas été facturés dès le départ, alors ils ont annulé le cours une première fois, pour me le facturer et pour ensuite le ré-annuler en bonne et due forme. Mais bon, peut-être est-ce de la pure paranoïa de ma part...
Finalement, la personne avec qui j'ai discuté m'a assûré que je ne serais en aucun cas pénalisée car l'annulation du cours avait bel et bien eu lieu. Seulement, pour le remboursement je dois attendre à la semaine prochaine. Étant donné que mon état de compte affiche maintenant un crédit de près de 400$, ce montant sera remboursé à même ma carte de crédit. Alléluia!
Ceci dit, si la semaine prochaine je m'aperçois que le montant ne m'a toujours pas été remboursé, je crois que je vais péter une coche. Et ça ne sera pas beau!!
Voici une photo qui date d'avril 2006. C'est mon air sur-le-bord-de-péter-une-coche-mais-qui-survit !
mercredi, septembre 27, 2006
La saga sur l'incompétence bureaucratique se poursuit...
Eh oui!! Qui l'aurait cru!! Rien n'est encore réglé. PUTAIN!!!!!!!!!
Le 20 ou le 21 septembre, j'ai finalement reçu un courriel de la dame du S.A.G.E. me disant que le cours en question avait été annulé, mais que je devais m'adresser au département des droits de scolarité concernant les modalités de remboursement. Comme vers la fin de la semaine j'étais trop amochée pour tenir une conversation sensée au téléphone (ni même en personne d'ailleurs), j'ai attendu à ce lundi, le 25 septembre.
Au téléphone, la jeune femme du département des droits de scolarité m'a gentiment assuré qu'aucun frais de cours de langue n'apparaissait à mon dossier, et que je n'avais donc rien à me faire rembourser. Chouette. Je n'y ai plus pensé pendant deux jours. Jusqu'à ce qu'aujourd'hui, jour de paie, je jette un coup d'oeil sur AccèsD histoire de régler mes comptes.
Quelle n'est pas mon incommensurable surprise lorsque je vois que 519.33$ ont été facturés à ma carte Visa le 25 septembre 2006 pour le cours de langue. Oooooossssssssssssstiiiiiiiiiiiieeeeeeeeeee! Ils ne sont vachement pas pressés, hein!!! Lors de mon inscription, le 23 août dernier, puisque j'avais laissé mon numéro de carte Visa, je désirais savoir quand le paiement allait être facturé. On m'avait répondu "le lendemain". N'IMPORTE QUOI!!!!!!!!!!! Non seulement les frais ont été facturés un mois plus tard, mais depuis la semaine passée, tout le monde me raconte n'importe quoi.
J'ai écrit un email de bêtises au département des droits de scolarité et demain, ils recevront de surcroît un appel de bêtises. Tiens, je pourrais même leur faxer des bêtises!!
Non, mais!!
La date limite de remboursement étant ce vendredi, je n'ai surtout pas envie d'être pénalisée pour leur erreur. J'ai toujours détesté les incompétents, et faut croire que depuis 2 semaines, je n'ai eu affaire qu'à des incompétents! D'une péripétie à l'autre, d'un appel à l'autre, d'un courriel à l'autre, la situation s'enlise (tout ça pour une bête annulation de cours).
La saga se poursuit donc... bien malgré moi...
Le 20 ou le 21 septembre, j'ai finalement reçu un courriel de la dame du S.A.G.E. me disant que le cours en question avait été annulé, mais que je devais m'adresser au département des droits de scolarité concernant les modalités de remboursement. Comme vers la fin de la semaine j'étais trop amochée pour tenir une conversation sensée au téléphone (ni même en personne d'ailleurs), j'ai attendu à ce lundi, le 25 septembre.
Au téléphone, la jeune femme du département des droits de scolarité m'a gentiment assuré qu'aucun frais de cours de langue n'apparaissait à mon dossier, et que je n'avais donc rien à me faire rembourser. Chouette. Je n'y ai plus pensé pendant deux jours. Jusqu'à ce qu'aujourd'hui, jour de paie, je jette un coup d'oeil sur AccèsD histoire de régler mes comptes.
Quelle n'est pas mon incommensurable surprise lorsque je vois que 519.33$ ont été facturés à ma carte Visa le 25 septembre 2006 pour le cours de langue. Oooooossssssssssssstiiiiiiiiiiiieeeeeeeeeee! Ils ne sont vachement pas pressés, hein!!! Lors de mon inscription, le 23 août dernier, puisque j'avais laissé mon numéro de carte Visa, je désirais savoir quand le paiement allait être facturé. On m'avait répondu "le lendemain". N'IMPORTE QUOI!!!!!!!!!!! Non seulement les frais ont été facturés un mois plus tard, mais depuis la semaine passée, tout le monde me raconte n'importe quoi.
J'ai écrit un email de bêtises au département des droits de scolarité et demain, ils recevront de surcroît un appel de bêtises. Tiens, je pourrais même leur faxer des bêtises!!
Non, mais!!
La date limite de remboursement étant ce vendredi, je n'ai surtout pas envie d'être pénalisée pour leur erreur. J'ai toujours détesté les incompétents, et faut croire que depuis 2 semaines, je n'ai eu affaire qu'à des incompétents! D'une péripétie à l'autre, d'un appel à l'autre, d'un courriel à l'autre, la situation s'enlise (tout ça pour une bête annulation de cours).
La saga se poursuit donc... bien malgré moi...
Café et culture
De retour du travail. Je suis crevée. Je me sens mieux, je tousse moins, mais je suis crevée. Vidée.
Hier soir, j'ai regardé la nouvelle série Les hauts et les bas de Sophie Paquin. J'avais passé une partie de la soirée à imprimer et corriger des trucs, alors j'ai eu envie de prendre une petite pause et de ne penser à rien (pour ce faire, quoi de mieux qu'une série un peu loufoque). Je n'avais pas regardé le premier épisode puisque à première vue, le synopsis ne m'intéressait pas trop. Finalement, j'ai trouvé cet épisode pas si mal, plutôt rigolo en fait, même si je me disais constamment "La pôoooooovre fille!", je me sentais presque malheureuse pour elle. Mais j'ai surtout eu un faible pour le personnage joué par Élise Guilbault: quelle drôle de dame!
J'ai lu cette semaine que la chaîne américaine Starbuck's allait augmenter ses
prix, tant aux États-Unis qu'au Canada.
Ceci étant dit... Cette inflation ne m'empêchera certainement pas de continuer à être une de leurs plus fidèles consommatrices (ouais, je sais, même si c'est américain). J'ai presque ma photo sous la mention meilleure cliente à vie à la succursale près de l'Univer
sité... ha ha! Ils sont sur le point de me décerner le trophée de la plus grande buveuse de cappuccino. Si si... je vous le dis...
(Bon, veuillez ne pas trop tenir compte de mon horrible coiffure. Vous essaierez, vous, de laver et coiffer une tigasse frisée comme la mienne lorsque vous habitez pour deux semaines dans une modeste chambre, d'une auberge de jeunesse un peu merdique, et où une douche sur deux est presque glaciale!).
***
Dans un tout autre ordre d'idées, tout à l'heure, j'ai lu un article qui m'a (encore) mis hors de moi (ou, en bon français, qui m'a mise en `]#@}^^\@
prix, tant aux États-Unis qu'au Canada.
Ceci étant dit... Cette inflation ne m'empêchera certainement pas de continuer à être une de leurs plus fidèles consommatrices (ouais, je sais, même si c'est américain). J'ai presque ma photo sous la mention meilleure cliente à vie à la succursale près de l'Univer
sité... ha ha! Ils sont sur le point de me décerner le trophée de la plus grande buveuse de cappuccino. Si si... je vous le dis...La preuve: même à Paris en novembre 2005, malgré tous les bons cafés que j'ai eu la chance d'y savourer, j'ai tout de même craqué pour mon éternel cappuccino Starbuck's! La photo a été prise par une autre étudiante de ma promo en muséologie (Janelle). J'étais en train de me délecter d'une petite touche de mousse sur le couvercle... Inconditionnelle jusqu'au bout!
(Bon, veuillez ne pas trop tenir compte de mon horrible coiffure. Vous essaierez, vous, de laver et coiffer une tigasse frisée comme la mienne lorsque vous habitez pour deux semaines dans une modeste chambre, d'une auberge de jeunesse un peu merdique, et où une douche sur deux est presque glaciale!).
***
Dans un tout autre ordre d'idées, tout à l'heure, j'ai lu un article qui m'a (encore) mis hors de moi (ou, en bon français, qui m'a mise en `]#@}^^\@
Source de l'image: http://tuberose.com/Germ_Theory.html
Hier, j'ai eu un petit répit. J'avais eu une bonne nuit de sommeil. Je me suis levée tôt, mais je me sentais reposée. Pratiquement plus de courbatures. Encore des bouffées de chaleur, mais rien de comparable avec la veille. J'ai retrouvé l'appétit. Seul hic, la toux s'est faite plus persistante.
Et, à force de tousser de la sorte, ma gorge s'irrite de plus en plus (mes nerfs aussi, je dois dire).
Cette nuit, j'ai mal dormi. J'avais trop chaud. Je toussais sans arrêt, par moment les quintes de toux étaient tellement intenses que j'avais le coeur qui levait. Berk. Je me suis levée à quelques reprises pour prendre du sirop, boire un peu ou juste marcher et attendre que ça passe. À 7h00, j'en ai eu marre et je me suis levée définitivement.
Rajoutez à ça la congestion nasale qui se met de la partie et ô comble de joie, ce matin, je me rends compte que mon audition est trouble.
Je ne sais pas si je devrais aller me faire vacciner contre la grippe. À mon travail, il y aura bientôt une séance gratuite de vaccination. Je n'ai jamais été très à l'aise avec la vaccination (bah, ni avec aucun autre traitement ou test médical dont l'outil principal est une aiguille). Je n'ai cependant pas envie de me taper une autre grippe de la sorte cet hiver.
Je n'ai surtout pas le temps d'être malade. C'est vrai merde, j'ai été improductive ces derniers jours et pourtant, j'ai un tas de choses à régler-organiser-terminer-peaufiner-rédiger-démarrer-expliquer-remuer-améliorer.
Sur ce, je déclare les microbes ennemis numéro 1 de la fille occupée.
Source de l'image: http://tuberose.com/Germ_Theory.html
samedi, septembre 23, 2006
101 in 1001
Je me suis mise au défi de réaliser 101 tâches en 1001 jours.
C'est pourquoi, j'ai créé un second blog destiné uniquement à ce projet, et il a pour titre Atteindre l'inaccessible étoile (d'après la chanson La Quête de Jacques Brel, qui est mon chanteur préféré). Tout y est expliqué, le pourquoi du comment, les sites qui m'ont donné l'idée de participer à ce défi, etc.
Un lien permanent vers ce blog est présent dans la section Links à votre gauche.
C'est pourquoi, j'ai créé un second blog destiné uniquement à ce projet, et il a pour titre Atteindre l'inaccessible étoile (d'après la chanson La Quête de Jacques Brel, qui est mon chanteur préféré). Tout y est expliqué, le pourquoi du comment, les sites qui m'ont donné l'idée de participer à ce défi, etc.
Un lien permanent vers ce blog est présent dans la section Links à votre gauche.
vendredi, septembre 22, 2006
La journée de ci, la journée de ça
Aujourd'hui, c'est la journée En ville, sans ma voiture, mais c'est également la première Journée internationale web.
Apparemment, aujourd'hui, 22 septembre 2006, une éclipse solaire a eu lieu en Guyanne française d'après ce site et cet autre site (de même que plusieurs autres).
C'est la Fête des créateurs en Bretagne, la fin de l'été (bonjour début de l'équinoxe d'automne!).
Le film Sans Elle, de Jean Beaudin, mettant en vedette la jeune actrice québécoise Karine Vanasse, prend l'affiche aujourd'hui.
Oula, quelle journée prolifique que ce 22 septembre 2006!
Apparemment, aujourd'hui, 22 septembre 2006, une éclipse solaire a eu lieu en Guyanne française d'après ce site et cet autre site (de même que plusieurs autres).
C'est la Fête des créateurs en Bretagne, la fin de l'été (bonjour début de l'équinoxe d'automne!).
Le film Sans Elle, de Jean Beaudin, mettant en vedette la jeune actrice québécoise Karine Vanasse, prend l'affiche aujourd'hui.
Oula, quelle journée prolifique que ce 22 septembre 2006!
Grippe d'homme - Tome 2
Je suis encore malade.
Décidément, j'ai vraiment une grippe d'homme. De la fièvre depuis hier, à un point tel que je suis constamment en sueur. Je ne suis restée que quelques heures ce matin au bureau, et lorsque je suis arrivée chez moi, je me suis couchée. Au bout de 30 minutes, je me suis réveillée, les cheveux trempés et le visage bouillant. En me regardant dans le miroir, j'ai constaté que mon visage était rouge comme si je venais de faire de l'exercice de façon très très intense (ce qui n'arrive à peu près jamais). C'est presque hallucinant d'avoir aussi chaud à rester étendue et à ne rien faire.
Je sais que le seul remède dans ce cas-là est de se reposer. J'ai du mal à dormir plus que par petites tranches de 30 minutes. Et j'ai bien essayé, cet après-midi, mais le téléphone a sonné 5 fois en l'espace de 4 heures, dont 3 dans la même heure et là-dessus, un seul appel m'était réellement destiné. Grrrr.... J'en ai marre des faux numéros et des appels de télémarketing.
Tout ceci sans compter une personne qui a sonné à la porte pour vendre des calendriers.
Mais merrrrrrde, qu'est-ce que vous avez tous aujourd'hui à me harceler??
Décidément, j'ai vraiment une grippe d'homme. De la fièvre depuis hier, à un point tel que je suis constamment en sueur. Je ne suis restée que quelques heures ce matin au bureau, et lorsque je suis arrivée chez moi, je me suis couchée. Au bout de 30 minutes, je me suis réveillée, les cheveux trempés et le visage bouillant. En me regardant dans le miroir, j'ai constaté que mon visage était rouge comme si je venais de faire de l'exercice de façon très très intense (ce qui n'arrive à peu près jamais). C'est presque hallucinant d'avoir aussi chaud à rester étendue et à ne rien faire.
Je sais que le seul remède dans ce cas-là est de se reposer. J'ai du mal à dormir plus que par petites tranches de 30 minutes. Et j'ai bien essayé, cet après-midi, mais le téléphone a sonné 5 fois en l'espace de 4 heures, dont 3 dans la même heure et là-dessus, un seul appel m'était réellement destiné. Grrrr.... J'en ai marre des faux numéros et des appels de télémarketing.
Tout ceci sans compter une personne qui a sonné à la porte pour vendre des calendriers.
Mais merrrrrrde, qu'est-ce que vous avez tous aujourd'hui à me harceler??
jeudi, septembre 21, 2006
Y'a pas que les Américains qui sont obèses!
Les supernovae aussi!! Étonnant!
Je vous suggère de lire cet article paru sur le site de nouvelles de Radio-Canada.
Je vous suggère de lire cet article paru sur le site de nouvelles de Radio-Canada.
Chronique littéraire nocturne
Il est 3h13 du mat'.
Je n'arrivais plus à demeurer en position allongée, tous les muscles de mon corps me faisant mal. Je suis allée prendre mes deux cuilerée de sirop (à même la bouteille par trop de paresse), je me suis fait un bon thé chaud au miel et me voilà devant mon écran d'ordinateur à cette heure si.... euh... tardive ou matinale, c'est selon.
Alors voilà, ma première chronique littéraire nocturne!
Il y a quelques jours, j'ai lu un minuscule recueil de nouvelles d'Anna Gavalda. C'est mon premier livre de cette auteure. Il s'agit de douze courtes nouvelles. Voici la description, telle que trouvée sur le site Fnac et qui est à mon avis très juste:
Par la suite, j'ai débuté la lecture de Malavita, un ouvrage de Tonino Benacquista. Ce dernier est un auteur que j'apprécie vivement.
En 2003, dans le cadre de l'un de mes cours en histoire de l'art portant sur les institutions artistiques, notre prof nous avait suggéré de lire Trois carrés rouges sur fond noir, un roman où s'entremêlent art et crime (c'était surtout dans le but de nous familiariser avec diverses façons de décrire des vernissages - elle nous avait proposé différents romans dans lesquels il y avait des passages de ce genre). Ce polar m'a beaucoup plu, étant une amatrice de roman policier (entre autres choses).
L'an dernier, j'ai lu deux autres romans, Quelqu'un d'autre et Saga.
Ces deux livres-ci m'ont littéralement donné la piqûre, et tout spécialement Quelqu'un d'autre, qui se veut empreint d'une philosophie quelque peu existentialiste. C'est ce qui m'a le plus marqué de ce roman captivant, qui raconte en quelque sorte l'histoire d'un pari entre deux hommes que le destin scelle et qui se mettront au défi de devenir quelqu'un d'autre... Peut-on réellement devenir quelqu'un d'autre? C'est à lire!
Ainsi, je dirais que Quelqu'un d'autre est probablement le meilleur roman de Benacquista parmi ceux dont j'ai fait la lecture.
Quant à Saga, il s'agit là d'un récit à la fois fort intéressant et amusant, dont l'idée de départ est plutôt originale: des scénaristes créent un feuilleton télé destiné à ne pas être vu (ou à peu près pas), mais qui finit par prendre une ampleur démesurée. Brillant, délirant et savoureux.
Et maintenant, qu'en est-il de Malavita? Je ne suis pas encore très avancée dans l'histoire, mais par rapport aux autres ouvrages de Benacquista cités plus haut, le rythme de celui-il m'apparaît plus lent, moins ennivrant. J'ai du mal à plonger dans l'histoire, elle n'a pas encore réussi à me captiver, chose que les autres bouquins ont fait dès les premières pages.
Je ne sais pas. Je ressens un malaise face à ce livre.
Peut-être est-ce simplement dû au fait que je n'ai pas encore lu le tiers de ce roman. Alors, pour la suite, on verra bien...
Je n'arrivais plus à demeurer en position allongée, tous les muscles de mon corps me faisant mal. Je suis allée prendre mes deux cuilerée de sirop (à même la bouteille par trop de paresse), je me suis fait un bon thé chaud au miel et me voilà devant mon écran d'ordinateur à cette heure si.... euh... tardive ou matinale, c'est selon.
Alors voilà, ma première chronique littéraire nocturne!
Il y a quelques jours, j'ai lu un minuscule recueil de nouvelles d'Anna Gavalda. C'est mon premier livre de cette auteure. Il s'agit de douze courtes nouvelles. Voici la description, telle que trouvée sur le site Fnac et qui est à mon avis très juste:
Ce court paragraphe dit tout. J'ai particulièrement aimé le fait que chacune des douzes histoires soient rédigées dans un style différent. La lecture se veut agréable, divertissante. C'est un petit bouquin qui fait sourire. Nous pouvons tous nous reconnaître dans l'un ou l'autre des personnages qu'elle dépeint avec beaucoup de talent.Mot de l'éditeur
Les personnages de ces douze nouvelles sont pleins d'espoirs futiles, ou de désespoir grave. Ils ne cherchent pas à changer le monde. Quoi qu'il leur arrive, ils n'ont rien à prouver. Ils ne sont pas héroïques. Simplement humains. On les croise tous les jours sans leur prêter attention, sans se rendre compte de la charge d'émotion qu'ils transportent et que révèle tout à coup la plume si juste d'Anna Gavalda.
En pointant sur eux ce projecteur, elle éclaire par ricochet nos propres existences.
Par la suite, j'ai débuté la lecture de Malavita, un ouvrage de Tonino Benacquista. Ce dernier est un auteur que j'apprécie vivement.
En 2003, dans le cadre de l'un de mes cours en histoire de l'art portant sur les institutions artistiques, notre prof nous avait suggéré de lire Trois carrés rouges sur fond noir, un roman où s'entremêlent art et crime (c'était surtout dans le but de nous familiariser avec diverses façons de décrire des vernissages - elle nous avait proposé différents romans dans lesquels il y avait des passages de ce genre). Ce polar m'a beaucoup plu, étant une amatrice de roman policier (entre autres choses).
L'an dernier, j'ai lu deux autres romans, Quelqu'un d'autre et Saga.
Ces deux livres-ci m'ont littéralement donné la piqûre, et tout spécialement Quelqu'un d'autre, qui se veut empreint d'une philosophie quelque peu existentialiste. C'est ce qui m'a le plus marqué de ce roman captivant, qui raconte en quelque sorte l'histoire d'un pari entre deux hommes que le destin scelle et qui se mettront au défi de devenir quelqu'un d'autre... Peut-on réellement devenir quelqu'un d'autre? C'est à lire!
Ainsi, je dirais que Quelqu'un d'autre est probablement le meilleur roman de Benacquista parmi ceux dont j'ai fait la lecture.
Quant à Saga, il s'agit là d'un récit à la fois fort intéressant et amusant, dont l'idée de départ est plutôt originale: des scénaristes créent un feuilleton télé destiné à ne pas être vu (ou à peu près pas), mais qui finit par prendre une ampleur démesurée. Brillant, délirant et savoureux.
Et maintenant, qu'en est-il de Malavita? Je ne suis pas encore très avancée dans l'histoire, mais par rapport aux autres ouvrages de Benacquista cités plus haut, le rythme de celui-il m'apparaît plus lent, moins ennivrant. J'ai du mal à plonger dans l'histoire, elle n'a pas encore réussi à me captiver, chose que les autres bouquins ont fait dès les premières pages.
Je ne sais pas. Je ressens un malaise face à ce livre.
Peut-être est-ce simplement dû au fait que je n'ai pas encore lu le tiers de ce roman. Alors, pour la suite, on verra bien...
mercredi, septembre 20, 2006
Grippe d'homme et divagation qui s'ensuit
Il fallait s'y attendre.
Mon corps finit toujours par m'envoyer un signe quand je le surmène. Résultat: après deux jours de toux sans trop me sentir malade, pafffff! Les microbes m'ont fichu une sacrée râclée hier soir. Je crois que je suis à deux doigts de m'installer une perfusion de sirop antitussif et d'ibuprofène. Je perdrais alors moins de temps à lire la boîte pour savoir hmmm, devrais-je prendre encore 2 cuillières de sirop, même si la posologie indique aux 6 heures et que j'en ai pris la dernière fois il y a 5 heures, p'tain où j'ai bien pu foutre la bouteille de Advil, ah oui la voilà, zut j'ai oublié le verre d'eau, pouah elle goûte le chlore cette eau, ah oui quelle heure il est déjà, est-ce que c'est déjà l'heure d'ingurgiter cet infect sirop, pas étonnant que les enfants n'osent pas ouvrir la bouche quand leur âme maternelle leur tend une cuillière de cet épais liquide médicamenteux.
J'ai certes un tas de trucs à faire, mais la motivation a fait faux bond. Des vêtements à plier et ranger. De la vaisselle à remettre dans les armoires. De l'ordre à mettre dans ma paperasse. Un travail dirigé sur lequel, ben, euh, je dois travailler.
Nannnnnn.... Évidemment, je perds ma soirée à écouter en boucle quelques chansons de Joe Dassin, Il était une fois nous deux, Cecilia (fallait s'y attendre hein!... je crois avoir été brainwashée par cette chanson... si si...), et ainsi de suite. Je télécharge aussi des photographies sur le site Webshots. Bien sûr, après quelques années de popularité croissante, et à l'instar de tous les sites non-payants, Webshots vend maintenant des abonnements, restreignant les usagés cheap (dont je fais partie), à ne télécharger qu'un maximum de 5 photos par jour, et encore, que celles qui sont offertes aux pingres de mon acabit. Mais, toute futée que je suis (ou alors c'est le coup du hasard), j'ai trouvé une "gentille" magouille. En effaçant les cookies de mon browser, je peux me reconnecter au site, et celui-ci ne se "souvient" plus que je viens tout juste de lui extirper 5 photos!
Bah, d'une façon ou d'une autre, après en avoir téléchargées une quinzaine, je finis par en avoir marre et je redémarre mon CD, puis la première chanson repart (c'est-à-dire Le Dernier Slow). Entre temps, j'ai appliqué sur mon visage une épaisse couche du masque à l'argile ionique de The Body Shop. Qu'est-ce que ça peut bien manger en hiver, de l'argile ionique, aucune idée, mais j'ai drôlement l'air d'arborer un camouflage d'armée au visage en ce moment.
Prochaine recrue de l'armée canadienne? Bwahahahaha! Je préfèrerais encore devenir expert-comptable, passer toutes mes vacances d'été à Cape Cod, avoir une p'tit famille proprette dont tous les membres portent des vêtements de la même couleur lors de leurs sorties officielles (oulà, pathétique), voter pour le parti Conservateur(**) et l'ADQ, ne pas trop avoir le sens de l'humour et porter en tout temps des bas bruns. (*)
Merlin est couché à mes côtés, et Belle, sur mes jambes. C'est que je porte un bas de pyjama confortable, en flanelle. Et pour que je porte un truc aussi chaud, c'est bien là un signe que je suis grippée. Ah... j'arrive une fois de plus à ce refrain:
Ouch! Ça craque. J'ai ce masque vert sur le visage depuis plus de vingt minutes. Je crois que je vais aller dormir un peu. Une bonne nuit de sommeil ne me fera pas de tort, mon cerveau est à 2 doigts de déserter... (encore une référence à l'armée, décidément, je suis maladeeeeeuhhh, complètement maladeeuuuhhh!)...
(*) Toute ressemblance avec une personne vivante n'est peut-être pas fortuite... Hé hé.
(**) Non, après relecture, je ne crois pas que, même en menant une vie d'expert-comptable, je voterais pour le parti Conservateur. Inconcevable et humainement impossible.
Mon corps finit toujours par m'envoyer un signe quand je le surmène. Résultat: après deux jours de toux sans trop me sentir malade, pafffff! Les microbes m'ont fichu une sacrée râclée hier soir. Je crois que je suis à deux doigts de m'installer une perfusion de sirop antitussif et d'ibuprofène. Je perdrais alors moins de temps à lire la boîte pour savoir hmmm, devrais-je prendre encore 2 cuillières de sirop, même si la posologie indique aux 6 heures et que j'en ai pris la dernière fois il y a 5 heures, p'tain où j'ai bien pu foutre la bouteille de Advil, ah oui la voilà, zut j'ai oublié le verre d'eau, pouah elle goûte le chlore cette eau, ah oui quelle heure il est déjà, est-ce que c'est déjà l'heure d'ingurgiter cet infect sirop, pas étonnant que les enfants n'osent pas ouvrir la bouche quand leur âme maternelle leur tend une cuillière de cet épais liquide médicamenteux.
J'ai certes un tas de trucs à faire, mais la motivation a fait faux bond. Des vêtements à plier et ranger. De la vaisselle à remettre dans les armoires. De l'ordre à mettre dans ma paperasse. Un travail dirigé sur lequel, ben, euh, je dois travailler.
Nannnnnn.... Évidemment, je perds ma soirée à écouter en boucle quelques chansons de Joe Dassin, Il était une fois nous deux, Cecilia (fallait s'y attendre hein!... je crois avoir été brainwashée par cette chanson... si si...), et ainsi de suite. Je télécharge aussi des photographies sur le site Webshots. Bien sûr, après quelques années de popularité croissante, et à l'instar de tous les sites non-payants, Webshots vend maintenant des abonnements, restreignant les usagés cheap (dont je fais partie), à ne télécharger qu'un maximum de 5 photos par jour, et encore, que celles qui sont offertes aux pingres de mon acabit. Mais, toute futée que je suis (ou alors c'est le coup du hasard), j'ai trouvé une "gentille" magouille. En effaçant les cookies de mon browser, je peux me reconnecter au site, et celui-ci ne se "souvient" plus que je viens tout juste de lui extirper 5 photos!
Bah, d'une façon ou d'une autre, après en avoir téléchargées une quinzaine, je finis par en avoir marre et je redémarre mon CD, puis la première chanson repart (c'est-à-dire Le Dernier Slow). Entre temps, j'ai appliqué sur mon visage une épaisse couche du masque à l'argile ionique de The Body Shop. Qu'est-ce que ça peut bien manger en hiver, de l'argile ionique, aucune idée, mais j'ai drôlement l'air d'arborer un camouflage d'armée au visage en ce moment.
Prochaine recrue de l'armée canadienne? Bwahahahaha! Je préfèrerais encore devenir expert-comptable, passer toutes mes vacances d'été à Cape Cod, avoir une p'tit famille proprette dont tous les membres portent des vêtements de la même couleur lors de leurs sorties officielles (oulà, pathétique), voter pour le parti Conservateur(**) et l'ADQ, ne pas trop avoir le sens de l'humour et porter en tout temps des bas bruns. (*)
Merlin est couché à mes côtés, et Belle, sur mes jambes. C'est que je porte un bas de pyjama confortable, en flanelle. Et pour que je porte un truc aussi chaud, c'est bien là un signe que je suis grippée. Ah... j'arrive une fois de plus à ce refrain:
Ce sacré Joe!Souviens-toi, c'était un jeudi
Souviens-toi, on avait suivi
Le chemin des amoureux
C'était il était une fois nous deux
Souviens-toi, c'était le grand jour
Le grand pas vers le grand amour
C'était encore mieux que çaC'était nous deux il était une fois
Ouch! Ça craque. J'ai ce masque vert sur le visage depuis plus de vingt minutes. Je crois que je vais aller dormir un peu. Une bonne nuit de sommeil ne me fera pas de tort, mon cerveau est à 2 doigts de déserter... (encore une référence à l'armée, décidément, je suis maladeeeeeuhhh, complètement maladeeuuuhhh!)...
(*) Toute ressemblance avec une personne vivante n'est peut-être pas fortuite... Hé hé.
(**) Non, après relecture, je ne crois pas que, même en menant une vie d'expert-comptable, je voterais pour le parti Conservateur. Inconcevable et humainement impossible.
Foutue bureaucratie universitaire (remake des Douze travaux d'Astérix)
Finalement, j'ai décidé d'abandonner mon cours d'italien.
D'une part, je crois que j'aurais probablement dû prendre le cours intermédiaire. Étant donné que je possède déjà une bonne base, tout m'est revenu assez rapidement et après seulement 3 cours, le rythme d'apprentissage devenait trop lent à mon goût... De plus, en l'annulant avant le 30 septembre, cela me permettra d'avoir près de 500$ de moins à payer en frais de cours (et autres frais connexes avec des titres bidons, que la fédération étudiante essaie d'enrayer tant bien que mal).
Maintenant, reste à savoir si j'ai vraiment réussi à annuler ce cours, après 2 jours de démarches boiteuses. Cela me rappelle étrangement certaines démarches relatives à mon stage en Belgique, que j'avais faites au Pavillon étudiant en février 2005. C'était digne de la maison de fous dans Les Douze travaux d'Astérix. On me faisait passer d'un étage à l'autre, d'un bureau à l'autre, photocopier ceci, remettre en 3 copies cela...
Bon, si on revenait à nos moutons...
Hier, j'ai tenté de me renseigner auprès du Service d'accueil et de gestion des études (le S.A.G.E. de son p'tit nom, là où je m'étais inscrite initialement). Dans un premier temps, il m'a été EXTRÊMEMENT difficile de trouver leurs coordonnées sur le site web de l'université de Montréal (nan, c'est pas moi qui suis nouille, c'est ce foutu département qui n'a aucune espèce de visibilité sur le site de l'Université de Montréal - allez-y, cherchez le pour voir). Le temps d'attente au téléphone lorsqu'on joint le S.A.G.E. est, règle générale, d'au moins 15-20 minutes, alors comme j'étais au travail, je n'avais pas de temps à perdre à écouter en boucle "Veuillez demeurer en ligne afin de conserver votre priorité d'appel et blablabla et blablabla". Je leur ai donc fait parvenir mes questions par courriel hier matin avant 8h00 et, aujourd'hui, en fin d'après-midi toujours rien. Niet. Pas l'ombre d'une réponse.
Les étudiants peuvent normalement annuler un cours en ligne, ce que je me suis empressée de faire hier. Une fois sur le site web, j'ai reçu un message d'erreur me disant de communiquer avec mon département (ah ben ça alors, je viens de me rendre compte que je suis dans leur section "photos"!! Aucun lien, je sais. Hahaha!). Cependant, mon département ne peut évidemment pas s'en occuper étant donné que j'y suis inscrite en "rédaction". On m'a plutôt suggéré de joindre le département des cours de langues.
J'ai donc envoyé un courriel à ce département hier soir, on m'a répondu ce matin de me rendre en personne au S.A.G.E (Ce qui est en soi une trrrrrès mauvaise idée!! Leur personnel n'est pas très courtois et moi, pas très courtoise avec les gens qui ne sont pas très courtois) ou encore de leur faire parvenir un fax. Un peu sceptique, j'ai décidé de prendre *ahem* de perdre, devrais-je dire *ahem* vingt minutes et d'attendre sur la ligne qu'un être humain me réponde enfin. Au bout de ces 20 minutes pendant lesquelles j'ai gribouillé sur une feuille et sacré au moins 10 fois, une dame m'a FINALEMENT donné une adresse de courriel et le nom d'une personne à joindre. Je lui ai bien évidemment fait parvenir un courriel.
C'était peu avant l'heure du dîner. Il est 17h19 et aucune réponse.
Ahhhhhhhh! GRrrrrrrrrrrr!! S'il y a une suite aux Douze Travaux d'Astérix, nul doute que la prochaine maison de fous sera l'Université de Montréal et ses dédales bureaucratiques. Y'en a marrreeeeeuhhh!
D'une part, je crois que j'aurais probablement dû prendre le cours intermédiaire. Étant donné que je possède déjà une bonne base, tout m'est revenu assez rapidement et après seulement 3 cours, le rythme d'apprentissage devenait trop lent à mon goût... De plus, en l'annulant avant le 30 septembre, cela me permettra d'avoir près de 500$ de moins à payer en frais de cours (et autres frais connexes avec des titres bidons, que la fédération étudiante essaie d'enrayer tant bien que mal).
Maintenant, reste à savoir si j'ai vraiment réussi à annuler ce cours, après 2 jours de démarches boiteuses. Cela me rappelle étrangement certaines démarches relatives à mon stage en Belgique, que j'avais faites au Pavillon étudiant en février 2005. C'était digne de la maison de fous dans Les Douze travaux d'Astérix. On me faisait passer d'un étage à l'autre, d'un bureau à l'autre, photocopier ceci, remettre en 3 copies cela...
Bon, si on revenait à nos moutons...
Hier, j'ai tenté de me renseigner auprès du Service d'accueil et de gestion des études (le S.A.G.E. de son p'tit nom, là où je m'étais inscrite initialement). Dans un premier temps, il m'a été EXTRÊMEMENT difficile de trouver leurs coordonnées sur le site web de l'université de Montréal (nan, c'est pas moi qui suis nouille, c'est ce foutu département qui n'a aucune espèce de visibilité sur le site de l'Université de Montréal - allez-y, cherchez le pour voir). Le temps d'attente au téléphone lorsqu'on joint le S.A.G.E. est, règle générale, d'au moins 15-20 minutes, alors comme j'étais au travail, je n'avais pas de temps à perdre à écouter en boucle "Veuillez demeurer en ligne afin de conserver votre priorité d'appel et blablabla et blablabla". Je leur ai donc fait parvenir mes questions par courriel hier matin avant 8h00 et, aujourd'hui, en fin d'après-midi toujours rien. Niet. Pas l'ombre d'une réponse.
Les étudiants peuvent normalement annuler un cours en ligne, ce que je me suis empressée de faire hier. Une fois sur le site web, j'ai reçu un message d'erreur me disant de communiquer avec mon département (ah ben ça alors, je viens de me rendre compte que je suis dans leur section "photos"!! Aucun lien, je sais. Hahaha!). Cependant, mon département ne peut évidemment pas s'en occuper étant donné que j'y suis inscrite en "rédaction". On m'a plutôt suggéré de joindre le département des cours de langues.
J'ai donc envoyé un courriel à ce département hier soir, on m'a répondu ce matin de me rendre en personne au S.A.G.E (Ce qui est en soi une trrrrrès mauvaise idée!! Leur personnel n'est pas très courtois et moi, pas très courtoise avec les gens qui ne sont pas très courtois) ou encore de leur faire parvenir un fax. Un peu sceptique, j'ai décidé de prendre *ahem* de perdre, devrais-je dire *ahem* vingt minutes et d'attendre sur la ligne qu'un être humain me réponde enfin. Au bout de ces 20 minutes pendant lesquelles j'ai gribouillé sur une feuille et sacré au moins 10 fois, une dame m'a FINALEMENT donné une adresse de courriel et le nom d'une personne à joindre. Je lui ai bien évidemment fait parvenir un courriel.
C'était peu avant l'heure du dîner. Il est 17h19 et aucune réponse.
Ahhhhhhhh! GRrrrrrrrrrrr!! S'il y a une suite aux Douze Travaux d'Astérix, nul doute que la prochaine maison de fous sera l'Université de Montréal et ses dédales bureaucratiques. Y'en a marrreeeeeuhhh!
mardi, septembre 19, 2006
Sud-Ouest, vous dites?
La nouvelle évaluation foncière montréalaise pour 2007-2009 fait des mécontents. Et pour cause! Les taxes foncières augmenteront de façon drastique si l'on se fie aux chiffres annoncés. Étant donné la très forte demande de propriétés à faible coût, même les quartiers les moins nantis subiront une majoration pas très sympathique de leurs taxes foncières.
En tête de liste figure l'arrondissement Sud-Ouest : 61,1% d'augmentation. Ouah, ça tue.
Et dans quel arrondissement je vis?
...
Suspense...
...
Je vous laisse deviner.
...
Oui, l'arrondissement Sud-Ouest! Grrrrrr!! Arghh! Bouhouhouhou!
Bon, et maintenant, où est-ce qu'on envoie nos lettres de bêtises?
En tête de liste figure l'arrondissement Sud-Ouest : 61,1% d'augmentation. Ouah, ça tue.
Et dans quel arrondissement je vis?
...
Suspense...
...
Je vous laisse deviner.
...
Oui, l'arrondissement Sud-Ouest! Grrrrrr!! Arghh! Bouhouhouhou!
Bon, et maintenant, où est-ce qu'on envoie nos lettres de bêtises?
Mon nouveau bébé!
Ça y est! Il est arrivé hier!!!!! Ouuuuuaaiiis! Mon nouvel ordi!!!!!!
C'est la joie. Il est tout beau, tout rapide. Il sent le neuf. Pas de fenêtres qui gèlent. Pas de poils de chat incrustrés partout (ça ne saurait tarder cependant). Pas de touches qui bloquent ou qui me sautent en pleine face. Toutes ses fonctions vitales... ben... ben... elles fonctionnent! La joie, je vous dis! :-D
J'ai même oté pour un autocollant rouge à motif de dragon asiatique pour enjoliver le couvercle. :-)dimanche, septembre 17, 2006
Fiesta!
La semaine dernière, c'était l'anniversaire d'une collègue de travail et amie.
Une des filles avait planifié une soirée d'enfer ce vendredi. Petit tour de limo jusqu'au Mont-Royal où nous avons pris des photos, ensuite nous sommes allées faire la fiesta au club du Newtown.
C'était la première fois que j'allais à ce club. Ambiance plaisante et décor sympa, musique qui me faisait penser à la boîte où j'étais
allée à Paris (bah, rien d'étonnant, le site décrit la musique que l'on y fait jouer comme du R&B et disco house européen). La clientèle me paraissait assez jeune (début vingtaine) et surtout masculine.
La limo est venue nous reprendre à 3h00 du matin et nous a reconduit chacune d'entre nous chez elles (deux à Côte-St-Paul, une à Lachine, le reste à LaSalle).
Plutôt amusant comme soirée. Plutôt particulier de voir certaines de ses collègues de travail complètement paf! Ha ha! :-D
Une des filles avait planifié une soirée d'enfer ce vendredi. Petit tour de limo jusqu'au Mont-Royal où nous avons pris des photos, ensuite nous sommes allées faire la fiesta au club du Newtown.
C'était la première fois que j'allais à ce club. Ambiance plaisante et décor sympa, musique qui me faisait penser à la boîte où j'étais
allée à Paris (bah, rien d'étonnant, le site décrit la musique que l'on y fait jouer comme du R&B et disco house européen). La clientèle me paraissait assez jeune (début vingtaine) et surtout masculine.La limo est venue nous reprendre à 3h00 du matin et nous a reconduit chacune d'entre nous chez elles (deux à Côte-St-Paul, une à Lachine, le reste à LaSalle).
Plutôt amusant comme soirée. Plutôt particulier de voir certaines de ses collègues de travail complètement paf! Ha ha! :-D
vendredi, septembre 15, 2006
L'habit ne fait pas le moine
Suite à la tragédie survenue mercredi au Collège Dawson, et en raison du fait que le tireur fou adhérait apparemment à la culture gothique, certaines personnes craignent maintenant les gothiques. Toute à l'heure, j'ai lu sur un forum que je fréquente, une femme donnant une opinion totalement biaisée, affirmant que les gothiques sont des êtres dangereux.
Rien de plus faux.
Le jeune homme était d'origine indienne, cela fait-il en sorte que les indiens sont des terroristes?
Pas du tout!
Il arborait un "mohawk" en guise de coiffure. Tous ceux qui sont ainsi coiffés trimbalent-ils avec eux des armes automatiques?
Non!
Le tueur vivait à Laval. Est-ce que tous les Lavallois sont des êtres déséquilibrés?
Bah... j'avoue que ça porte à confusion. :-D
Non, je plaisante évidemment!! ;-)
Rien de plus faux.
Le jeune homme était d'origine indienne, cela fait-il en sorte que les indiens sont des terroristes?
Pas du tout!
Il arborait un "mohawk" en guise de coiffure. Tous ceux qui sont ainsi coiffés trimbalent-ils avec eux des armes automatiques?
Non!
Le tueur vivait à Laval. Est-ce que tous les Lavallois sont des êtres déséquilibrés?
Bah... j'avoue que ça porte à confusion. :-D
Non, je plaisante évidemment!! ;-)
Un peu d'amour, maintenant...
Sur une note plus légère...
Je t'aime gros comme ça!
Il s'agit de deux photos prises en juillet. Morgane commençait à être jalouse, car mes 3 autres chats ont déjà eu leur 15 minutes de gloire sur mon blog, mais pas elle.
Je t'aime gros comme ça!
Il s'agit de deux photos prises en juillet. Morgane commençait à être jalouse, car mes 3 autres chats ont déjà eu leur 15 minutes de gloire sur mon blog, mais pas elle.Stupeur et tremblements: prise 2
L'auteur de la fusillade au Collège Dawson était un jeune homme de 25 ans. Apparemment, ce type était l'incarnation même d'un sociopathe...
Je copie-colle un extrait publié sur le site de nouvelles de Radio-Canada:
Je pense à la famille de la jeune femme qui est décédée. Je viens de lire qu'elle avait 18 ans. La vie commence à 18 ans...
Cette tragédie a fait en sorte que le débat sur les armes à feu a repris de plus belle. Rappelons que le gouvernement conservateur a déposé un projet de loi il y a quelques mois afin de retirer le registre des armes à feu. Les politiques de ce gouvernement sont une nuisance publique. À trop vouloir faire comme nos ti-namis les Américains, Harper est en train de faire du Canada un pâle clône des États-Unis.
Je copie-colle un extrait publié sur le site de nouvelles de Radio-Canada:
Comment peut-on à ce point haïr la société dans laquelle on vit et en arriver à commettre de tels actes?? Je sais bien que notre monde est loin d'être parfait, mais merde, ce type-là avait sérieusement besoin d'aide. Apparemment, il s'est lui-même logé une balle dans la tête. La police a ouvert le feu sur lui mais ne l'aurait pas tué. Je ne comprends tout simplement pas ce qui se passe dans la tête d'un individu comme ça.Massacre annoncé
Par ailleurs, la lecture du journal personnel de l'auteur de la fusillade, laissé sur Internet, permet de dresser le portrait sombre d'un individu qui semblait vivre dans une réalité parallèle.
En effet, sur un blogue contenant plusieurs photos où on le voit, habillé de noir, brandir l'air menaçant tantôt un fusil d'assaut, tantôt un poignard, Kimveer Gill parle abondamment de son mal-être.
Le jeune Lavallois de 25 ans, amateur de musique métal et de culture gothique, a longuement décrit sur Internet sa haine de la société, des gens normaux, des « sportifs », des policiers qui, selon lui, le surveillaient depuis des mois.
Dans une multitude de messages, souvent plusieurs fois par jour, Gill affichait sa haine envers une société corrompue, peuplée de gens inférieurs. « Vous ne pourrez jamais me comprendre », écrivait-il, deux jours avant de prendre une arme et d'abattre des innocents au collège Dawson.Il consacre aussi beaucoup de temps à parler de ses passions, de la musique métal, des fusils et de l'esthétique gothique.
Kimveer Gill, moins de deux heures avant la fusillade, affichait toujours son malaise sur un blogue qui donnait la tragique mesure de la personnalité trouble d'un jeune homme de Laval.
Je pense à la famille de la jeune femme qui est décédée. Je viens de lire qu'elle avait 18 ans. La vie commence à 18 ans...
Cette tragédie a fait en sorte que le débat sur les armes à feu a repris de plus belle. Rappelons que le gouvernement conservateur a déposé un projet de loi il y a quelques mois afin de retirer le registre des armes à feu. Les politiques de ce gouvernement sont une nuisance publique. À trop vouloir faire comme nos ti-namis les Américains, Harper est en train de faire du Canada un pâle clône des États-Unis.
Dossier sur la fusillade au Collège Dawson: http://www.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2006/09/13/007-intro-FUSILLADE-DAWSON.shtml
mercredi, septembre 13, 2006
Adoption internationale
Sur une note plus gaie...
Ce week-end, nous avons "adopté" une japonaise pour la modique somme de 59.99$ (on est bien loin des chinois à 25 sous... Ma mère avait prénommé le sien Paulette. Si, si...).
Elle provient d'un... sushi shop! :-D
Ce week-end, nous avons "adopté" une japonaise pour la modique somme de 59.99$ (on est bien loin des chinois à 25 sous... Ma mère avait prénommé le sien Paulette. Si, si...).
Elle provient d'un... sushi shop! :-D
Stupeur et tremblements
13h15
Je suis au travail. Je reçois un appel d'une collègue, qui accompagnait une autre collègue en pause. Elles devaient se rendre au Tim Horton. Elles étaient en voiture, sur la route.
Son ton de voix est angoissant.
Emilie, turn on the radio. We're going to be late. .... ..... Something happened at Dawson.
What???
Mary's daughter. She just called. She's in shock.
WHAT?? What happened??
You remember the Polytechnique?
Of course I do. W..???
The same thing happened at Dawson.
Holy sh....
Au travail, nous étions toutes "scotchées" à la radio, à l'affût des moindres détails. Comme la plupart de mes collègues sont anglophones, plusieurs d'entre elles connaissent une personne qui étudie ou travaille au Collège Dawson.
Une fille, un frère, une cousine, ...
La stupeur et l'anxiété étaient quasi palpables. J'en ai encore des frissons.
Un tireur fou s'est introduit dans la cafétéria de ce cégep anglophone sur l'heure du dîner. Il a apparemment blessé plusieurs personnes et une jeune femme a succombé à ses blessures.
Le tueur aurait été abattu par les forces de l'ordre plus tard dans l'après-midi.
On pense toujours qu'un tel drame ne peut pas avoir lieu près de chez nous. Je suis sans voix.
http://radio-canada.ca/nouvelles/societe/2006/09/13/003-fusillade-dawson.shtml
Pendant ce temps...
Le très *charmant* premier ministre canadien n'a émi AUCUN commentaire à la suite de cette malheureuse fusillade.
Le tueur était en possession d'une arme automatique. Ce genre de truc qu'on voit dans les films.
Monsieur Harper.
Peut-être que pour vous, ça semble normal qu'un déséquilibré se promène dans les rues de Montréal avec un machine gun.
Pour moi, ça ne l'est pas.
Et je ne veux pas que ça le devienne.
Je suis au travail. Je reçois un appel d'une collègue, qui accompagnait une autre collègue en pause. Elles devaient se rendre au Tim Horton. Elles étaient en voiture, sur la route.
Son ton de voix est angoissant.
Emilie, turn on the radio. We're going to be late. .... ..... Something happened at Dawson.
What???
Mary's daughter. She just called. She's in shock.
WHAT?? What happened??
You remember the Polytechnique?
Of course I do. W..???
The same thing happened at Dawson.
Holy sh....
Au travail, nous étions toutes "scotchées" à la radio, à l'affût des moindres détails. Comme la plupart de mes collègues sont anglophones, plusieurs d'entre elles connaissent une personne qui étudie ou travaille au Collège Dawson.
Une fille, un frère, une cousine, ...
La stupeur et l'anxiété étaient quasi palpables. J'en ai encore des frissons.
Un tireur fou s'est introduit dans la cafétéria de ce cégep anglophone sur l'heure du dîner. Il a apparemment blessé plusieurs personnes et une jeune femme a succombé à ses blessures.
Le tueur aurait été abattu par les forces de l'ordre plus tard dans l'après-midi.
On pense toujours qu'un tel drame ne peut pas avoir lieu près de chez nous. Je suis sans voix.
http://radio-canada.ca/nouvelles/societe/2006/09/13/003-fusillade-dawson.shtml
Pendant ce temps...
Le très *charmant* premier ministre canadien n'a émi AUCUN commentaire à la suite de cette malheureuse fusillade.
Le tueur était en possession d'une arme automatique. Ce genre de truc qu'on voit dans les films.
Monsieur Harper.
Peut-être que pour vous, ça semble normal qu'un déséquilibré se promène dans les rues de Montréal avec un machine gun.
Pour moi, ça ne l'est pas.
Et je ne veux pas que ça le devienne.
dimanche, septembre 10, 2006
40 ans et toutes ses... euh... antennes?!
La populaire série Star Trek célèbre ces jours-ci ses 40 ans.
Bien que la science-fiction ne soit *VRAIMENT PAS* ma tasse de thé, j'ai toujours éprouvé pour Star Trek un amour presque inconditionnel. Les vieux épisodes avec Shatner et Nimoy sont hilarants. Et que dire des effets spéciaux de l'époque!!!
J'aime tout particulièrement les épisodes de Star Trek Next Generation. Tous leurs termes techniques qui ne veulent rien dire du tout me font marrer. :-D Les personnages sont plus intéressants dans cette série-ci, entre autres car ils se révèlent plus en profondeur tant dans leur psychologie/personnalité que dans leurs actes.
Par contre, je n'ai pas particulièrement aimé la série Enterprise, trop "hollywoodisée": violence à outrance et à caractère trop sexuel par moments. J'en conviens, une série de science-fiction implique irrémédiablement des scènes de combat, mais dans Next Generation, il y a une "morale" à l'histoire (bien souvent il s'agit de l'éternel combat entre le bien et le mal, des trucs existentiels du genre... hé hé), tandis que dans Enterprise, j'ai l'impression que les créateurs ont simplement voulu en mettre plein la vue aux téléspectateurs.
En terminant, un scoop: J.J. Abrams (créateur des séries télévisées Alias, Lost et réalisateur de Mission: Impossible III - ou devrais-je dire «Alias - The Movie -but with a male actor»... bwahahaha!!) est pressenti pour la réalisation d'un nouveau long-métrage de la célèbre troupe de l'espace.
Bien que la science-fiction ne soit *VRAIMENT PAS* ma tasse de thé, j'ai toujours éprouvé pour Star Trek un amour presque inconditionnel. Les vieux épisodes avec Shatner et Nimoy sont hilarants. Et que dire des effets spéciaux de l'époque!!!
J'aime tout particulièrement les épisodes de Star Trek Next Generation. Tous leurs termes techniques qui ne veulent rien dire du tout me font marrer. :-D Les personnages sont plus intéressants dans cette série-ci, entre autres car ils se révèlent plus en profondeur tant dans leur psychologie/personnalité que dans leurs actes.
Par contre, je n'ai pas particulièrement aimé la série Enterprise, trop "hollywoodisée": violence à outrance et à caractère trop sexuel par moments. J'en conviens, une série de science-fiction implique irrémédiablement des scènes de combat, mais dans Next Generation, il y a une "morale" à l'histoire (bien souvent il s'agit de l'éternel combat entre le bien et le mal, des trucs existentiels du genre... hé hé), tandis que dans Enterprise, j'ai l'impression que les créateurs ont simplement voulu en mettre plein la vue aux téléspectateurs. En terminant, un scoop: J.J. Abrams (créateur des séries télévisées Alias, Lost et réalisateur de Mission: Impossible III - ou devrais-je dire «Alias - The Movie -but with a male actor»... bwahahaha!!) est pressenti pour la réalisation d'un nouveau long-métrage de la célèbre troupe de l'espace.
Vas-y, fais-le pour toi!
Mon chat 
Merlin a un surplus de poids, comme une bonne proportion des habitants de l'Amérique du Nord. Ce n'est pas de sa faute s'il est gros, c'est un problème de société.
En dépit de toute la panoplie de programmes déployés par les gouvernements (*), par les organismes reliés à la santé, etc., la population nord-américaine ne semble pas alarmée outre mesure par les conséquences de l'obésité (diabète, hypertension, problèmes cardiaques, insuffisance veineuse, et tutti quanti).
Depuis quelques décennies, on remarque que les portions au restaurant ont doublé, voire triplé. Et, comme nos parents nous ont très tôt entré dans le crâne qu'il fallait vider notre assiette, nous la vidons, coûte que coûte. Pas de gaspillage.
Mais si, au lieu d'ingurgiter en un seul repas un plat assez gros pour nourrir 3 personnes, nous demandions un "doggy bag" pour emporter les restes?
De nos jours, nous vivons à un rythme effrené. Il semble que nous n'ayons plus le temps de se faire à manger. Et hop! Un plat surgelé près en 4 minutes au micro-ondes. Notre alimentation comprend une large part de nourriture transformée, alors qu'il serait si simple et nutritif de croquer dans une bonne pomme ou de grignotter des carottes.
Je ne dis pas qu'il faille changer drastiquement nos habitudes alimentaires! Peut-être qu'il serait bon de revoir certaines de nos routines... Ce n'est pas si difficile de manger sainement.
La preuve: même Merlin semble avoir compris et s'est laissé tenter par un morceau de melon de miel! :-D
(*) Bah, je dois avouer que dans le cas du gouvernement québécois, le ridicule personnage bleu
qu'on croirait tout droit sorti de l'espace a presque un effet dissuasif sur les gens. ET IL ME TAPE SUR LES NERFS!!!!!!
Merlin a un surplus de poids, comme une bonne proportion des habitants de l'Amérique du Nord. Ce n'est pas de sa faute s'il est gros, c'est un problème de société.En dépit de toute la panoplie de programmes déployés par les gouvernements (*), par les organismes reliés à la santé, etc., la population nord-américaine ne semble pas alarmée outre mesure par les conséquences de l'obésité (diabète, hypertension, problèmes cardiaques, insuffisance veineuse, et tutti quanti).
Depuis quelques décennies, on remarque que les portions au restaurant ont doublé, voire triplé. Et, comme nos parents nous ont très tôt entré dans le crâne qu'il fallait vider notre assiette, nous la vidons, coûte que coûte. Pas de gaspillage.
Mais si, au lieu d'ingurgiter en un seul repas un plat assez gros pour nourrir 3 personnes, nous demandions un "doggy bag" pour emporter les restes?
De nos jours, nous vivons à un rythme effrené. Il semble que nous n'ayons plus le temps de se faire à manger. Et hop! Un plat surgelé près en 4 minutes au micro-ondes. Notre alimentation comprend une large part de nourriture transformée, alors qu'il serait si simple et nutritif de croquer dans une bonne pomme ou de grignotter des carottes.
Je ne dis pas qu'il faille changer drastiquement nos habitudes alimentaires! Peut-être qu'il serait bon de revoir certaines de nos routines... Ce n'est pas si difficile de manger sainement.
La preuve: même Merlin semble avoir compris et s'est laissé tenter par un morceau de melon de miel! :-D
(*) Bah, je dois avouer que dans le cas du gouvernement québécois, le ridicule personnage bleu
qu'on croirait tout droit sorti de l'espace a presque un effet dissuasif sur les gens. ET IL ME TAPE SUR LES NERFS!!!!!!
Un geste pour l'environnement
Depuis quelques années, plusieurs épiceries, boutiques et pharmacies font leur part pour l'environnement en offrant des sacs réutilisables.
Le hic: comment ne pas oublier de traîner avec soi ce sac?
Un exemple. J'en possède un de la pharmacie Jean-Coutu (acheté au début de l'été). Je vais pratiquement toutes les semaines chez Jean-Coutu. Combien de fois ai-je pensé à apporter ce sac?
20 fois, 10 fois?
...
...
Non, 2 fois!!
Autre chose: je ne crois pas que ce soit écologique de se procurer TOUS ces sacs, pour chacun des commerces que l'on fréquente. À moins de vouloir débuter une collection de sacs réutilisables.
vendredi, septembre 08, 2006
Folie or not Folie
En ce moment, je lis un roman intitulé La fin de la folie de Jorge Volpi.
J'ai eu du mal à embarquer dans l'histoire. Je m'attendais à un pur récit politique, mais c'est beaucoup plus complexe... Il s'agit plutôt d'un roman à saveur politico-psycho-philophico-psychanalytique (bwahahaha! n'importe quoi). Le dernier tiers de ce bouquin me paraît plus intéressant (d'autant plus que pendant de nombreuses pages, il est question d'art!).
Lorsque je lis un livre, il m'arrive de souligner des phrases marquantes, des passages qui m'interpellent. En voici justement deux, simples, mais évocateurs à leur manière.
p. 337 : «L'amitié et l'amour sont de très frêles constructions, l'une et l'autre participent de la même folie: croire que l'on peut finir par se connaître.»
p. 371: «Seulement la douleur. C'est tout ce qui me reste, tout ce qui me soutient.»
J'ai eu du mal à embarquer dans l'histoire. Je m'attendais à un pur récit politique, mais c'est beaucoup plus complexe... Il s'agit plutôt d'un roman à saveur politico-psycho-philophico-psychanalytique (bwahahaha! n'importe quoi). Le dernier tiers de ce bouquin me paraît plus intéressant (d'autant plus que pendant de nombreuses pages, il est question d'art!).
Lorsque je lis un livre, il m'arrive de souligner des phrases marquantes, des passages qui m'interpellent. En voici justement deux, simples, mais évocateurs à leur manière.
p. 337 : «L'amitié et l'amour sont de très frêles constructions, l'une et l'autre participent de la même folie: croire que l'on peut finir par se connaître.»
p. 371: «Seulement la douleur. C'est tout ce qui me reste, tout ce qui me soutient.»
Du nouveau!
À partir d'aujourd'hui, vous remarquerez que j'ai ajouté un "compteur" au bas de cette page (*).
Pour de plus amples informations au sujet de ce type de compteur, vous pouvez consulter le site web: http://www.shinystat.com/en/ (en anglais et en italien uniquement).
(*) Pour me prouver à moi-même à quel point mon blog est lamentable. Ha ha! :-D
Pour de plus amples informations au sujet de ce type de compteur, vous pouvez consulter le site web: http://www.shinystat.com/en/ (en anglais et en italien uniquement).
(*) Pour me prouver à moi-même à quel point mon blog est lamentable. Ha ha! :-D
1 an et 7 mois plus tard dans les Maritimes
En furetant au hasard dans la section culturelle du site web de Radio-Canada, je suis tombée sur un article/notice nécrologique qui m'a fait sursauter: l'acteur français Jacques Villeret est décédé à la toute fin du mois de janvier 2005. J'apprends la nouvelle avec seulement *1 an et 7 mois de retard*.
J'avais particulièrement aimé sa prestation dans le Dîner de cons (très marrant!!). L'année dernière, j'ai vu l'Antidote quelques jours à peine après être arrivée en terre belge (alors ce film, même s'il n'a rien d'un chef-d'oeuvre (il s'agit plutôt d'un divertissement léger et amusant), aura toujours une connotation particulière pour moi!).
J'avais particulièrement aimé sa prestation dans le Dîner de cons (très marrant!!). L'année dernière, j'ai vu l'Antidote quelques jours à peine après être arrivée en terre belge (alors ce film, même s'il n'a rien d'un chef-d'oeuvre (il s'agit plutôt d'un divertissement léger et amusant), aura toujours une connotation particulière pour moi!).
jeudi, septembre 07, 2006
Buona sera
À partir d'aujourd'hui, j'ai (à nouveau) des cours d'italien, à raison de deux séances par semaine. J'ai suivi un premier cours d'italien il y a 5 ans de cela. J'arrive assez bien à comprendre lorsque je lis un document en italien (bah, on s'entend, pas une thèse de doctorat sur la biologie marine, quand même!) et je suis une grande amatrice de films italiens (voir ma sélection ci-bas), que je préfère écouter dans leur langue d'origine. Je me débrouille lorsqu'il s'agit de m'exprimer verbalement (j'ai pu mettre mes connaissances à l'épreuve lorsque je suis allée à Venise l'été dernier).
Toutefois, au niveau grammatical, j'ai un peu oublié, ou alors j'ai tendance à confondre avec l'espagnol. Ce cours d'italien me permettra de me rafraîchir la mémoire (d'ailleurs, seulement ce soir, plusieurs de notions me sont subitement revenues).
Le prof, fort sympathique soit dit en passant, nous a fait lire quelques phrases chacun et... j'ai été démasquée! Il a paru surpris, d'une part en raison de ma spontanéité (j'ai lu le texte tout de go, sans hésiter) et d'autre part car j'ai bien prononcé un mot qui d'habitude pose problème aux débutants.
Avant de terminer, voici ma liste de films italiens à voir absolument:
Toutefois, au niveau grammatical, j'ai un peu oublié, ou alors j'ai tendance à confondre avec l'espagnol. Ce cours d'italien me permettra de me rafraîchir la mémoire (d'ailleurs, seulement ce soir, plusieurs de notions me sont subitement revenues).
Le prof, fort sympathique soit dit en passant, nous a fait lire quelques phrases chacun et... j'ai été démasquée! Il a paru surpris, d'une part en raison de ma spontanéité (j'ai lu le texte tout de go, sans hésiter) et d'autre part car j'ai bien prononcé un mot qui d'habitude pose problème aux débutants.
Avant de terminer, voici ma liste de films italiens à voir absolument:
- Pane e tulipani - Une comédie romantique qui a pour cadre les dédales de Venise. Un petit bijou, à la fois drôle et émouvant.
- Je suis une très très très grande amatrice de cinéma néoréaliste. Mon préféré entre tous est sans contredit Roma Città Aperta, qui est noir, dur, brutal par moments, mais poignant de vérité. Et l'actrice Anna Magnani y est magistrale.
- D'autres classiques néoréalistes à voir: Umberto D, Ossessione, Ladri di bicicletti, Germania Anno Zero.
- La Ciocciara - Un film qui se veut néoréaliste, sans l'être vraiment (ou sinon, il devrait être considéré comme un film néoréaliste tardif). Il est tiré d'un roman de Moravia, auquel le film ne rend pas justice (à mon humble avis), bien que l'oeuvre cinématographique soit bien dirigée.
- Ce n'est pas un secret, Fellini est un monstre sacré du cinéma italien. Quelques incontournables de cet excellent cinéaste: I Vitelloni, La Strada, Il Casanova di Fellini, et deux oeuvres que j'affectionne tout particulièrement: 8 1/2, La Dolce Vita.
- Plus récemment, le roman Io non ho paura a été porté à l'écran. Ce fut pour moi le coup de foudre instantané. J'ai le livre sur une des étagères de ma bibliothèque et il prend la poussière depuis plus de 3 ans... visionner ce film m'a donné envie de lire le livre.
- C'eravamo tanto amati mérite également une mention.
mercredi, septembre 06, 2006
Traduction simultanée
Avez-vous déjà remarqué que certaines chansons traduites dans une autre langue finissent bien souvent par perdre leur signification initiale?
Un exemple au hasard... la chanson Cecilia (*)... en anglais et en français.
C'est tout... pas de morale à ce délire. :-D
(*) Pas au hasard du tout, car je l'ai constemment dans la tête depuis la mi-juillet!!!!!!
Un exemple au hasard... la chanson Cecilia (*)... en anglais et en français.
C'est tout... pas de morale à ce délire. :-D
(*) Pas au hasard du tout, car je l'ai constemment dans la tête depuis la mi-juillet!!!!!!
The Love Boat
Mon bébé soeur a eu 25 ans ce lundi (ouch! ça ne me rajeunit pas non plus!).
Pour l'occasion, une fête thématique à mi-chemin entre Love Boat et Gilligan's Island a été concoctée, en lien avec la croisière qu'elle s'apprête à faire à la fin du mois. Voici une partie de l'équipage et des participants, la plupart en robe du soir (tenue requise pour s'asseoir à la table du capitaine).
Et... et... Un passager clandestin!
Et oui, Yannick... qui d'autre?!! He he!
Pour l'occasion, une fête thématique à mi-chemin entre Love Boat et Gilligan's Island a été concoctée, en lien avec la croisière qu'elle s'apprête à faire à la fin du mois. Voici une partie de l'équipage et des participants, la plupart en robe du soir (tenue requise pour s'asseoir à la table du capitaine).
Allez, on joue à "Où est la jubilaire?"!!
Outre les dames en robes longues, on discerne la veuve éplorée du bateau, la star européenne (moi... ha ha), un matelot, le Capitaine Bonhomme, un pirate (ne figurant pas sur la photo)...
Et... et... Un passager clandestin!
Et oui, Yannick... qui d'autre?!! He he!
Froogle n' Rock
Il y a quelques jours, je suis tombée sur un site web affilié à Google, il s'agit de Froogle. Ce site permet entre autres choses de créer une "wishlist" (un peu comme une liste de cadeaux pour le Père Noël), que l'on peut ou non partager avec d'autres personnes (et même avec le Père Noël, si cela vous chante).
Je viens tout juste de m'y abonner, alors pour le moment, ne figure à ma liste qu'un bureau de travail hyper cher de chez Pier 1. Ahhh, mais il est tellement beau. Je me vois *tellement* travailler là-dessus. :-D
Je viens tout juste de m'y abonner, alors pour le moment, ne figure à ma liste qu'un bureau de travail hyper cher de chez Pier 1. Ahhh, mais il est tellement beau. Je me vois *tellement* travailler là-dessus. :-D
samedi, septembre 02, 2006
Varia ou Nature-morte à la tasse de café
Ce matin, je savoure tranquillement un bon café équitable et biologique dans l'une de mes nouvelles tasses, reçue en cadeau lors de ma pendaison de crémaillière.
Ma journée d'hier fut occupée. J'avais un rendez-vous en avant-midi chez mon audioprothésiste pour aller récupérer mes nouvelles prothèses auditives numériques, adaptée par ordinateur (sur place) à mon ouïe. Il me faudra quelques jours afin de m'habituer au son, qui est sensiblement différent de mes prothèses précédentes (et je dois dire qu'elles commençaient à faire des siennes!). Par contre, bonne nouvelle: ces prothèses-ci permettent une audition plus "précise", c'est-à-dire que j'arrive à entendre des petits bruits qui autrefois se mêlaient aux bruits ambiants pour moi. Par exemple, hier, je marchais avec un sac en plastique et j'arrivais à percevoir le son du froissement du sac en marchant!!
Par la suite, je suis allée m'acheter une nouvelle paire de souliers confortables pour la rentrée... des espadrilles "chics" en cuir, de plusieurs tons de beige/brun. Évidemment, tout le monde sait que rentrée scolaire = chaussures neuves! Hi hi!
Je suis ensuite allée rejoindre une amie et son bambin près de la station de métro Mont-Royal. Sur Mont-Royal, il y avait une vente trottoir, où j'ai déniché un livre usagé. Le titre m'a immédiatement attirée: Dernières nouvelles de la nuit (Angelo Rinaldi). J'aime beaucoup les livres usagés, leur cachet un peu particulier... et parfois on y trouve de petits trésors entre les pages (photographies, cartes postales, notes manuscrites, etc.).
Nous sommes allées prendre un excellent thé chez Caffè Art Java, accompagné d'un dessert cochon (gâteau fromage-mangue pour moi et fromage-Skor pour elle).
En début de soirée, comme à tous les vendredis, nous avions nos cours de salsa chez Salsa Etc. Nous voici maintenant rendus au niveau 2, les mouvements se corsent de plus en plus! J'ai eu un peu de mal avec le boomerang, après avoir changé de partenaire 5 fois, j'y suis enfin arrivée. Il faut dire qu'étant la plus grande fille de la classe (hier, je faisais près de 6'1 du haut de mes talons aiguilles! ha ha!), j'ai du mal à trouver un partenaire "à la hauteur". ;-)
Arigato!
Hier, Yannick et moi avons mangé "à la japonaise" chez Sushi Tenki à LaSalle. Il s'agit d'un resto qui dispose de quelques salles avec table basse, à l'écart, derrière des portes-paravents. J'ai apprécié l'expérience! C'est parfait pour un souper en tête à tête. ;-)
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