La gastro-entérite est particulièrement virulente cet hiver. Les cas sont nombreux et les symptômes, assez sévères. Il suffit de lire les nouvelles pour se rendre compte que le virus semble se propager allègrement - certains sites un peu alarmistes (*ahem* Canoë *ahem*) évoque une épidémie dans la quasi-totalité des récents articles à ce sujet, ce qui n'est pas le cas fort heureusement. Il ne s'agit PAS d'une épidémie pour le moment, mais le nombre de cas devrait continuer d'augmenter dixit le ministère de la Santé et des Services sociaux. Les journalistes en mal de sensations fortes peuvent aller se recoucher, couver leurs microbes en paix et rêver d'une pandémie de rigueur journalistique. :-p
Au club de hockey Le Canadien, l'heure est grave! Guy Carbonneau a même affirmé qu'il n'avait jamais vu autant de joueurs malades en même temps (une douzaine, au moins). Ou bien c'est la preuve que les joueurs ne se lavent pas CORRECTEMENT les mains, ou alors c'est qu'ils ont été vraiment très intimes ces derniers temps. Mais ça, on ne le saura jamais. :-D
Au CPE où je travaille, beaucoup d'enfants en ont été atteints. Quelques employées également.
Je touche du bois. L'hypocondriaque que je suis n'en a pas été atteinte.
Par contre, je ne peux pas en dire autant de Yannick. Il a été sévèrement touché par le virus (nan, pas un virus informatique).
J'ai donc servi d'anti-virus ces deux derniers jours. Si, si.
Depuis hier, je lave, nettoie, désinfecte, aseptise, frotte, décrasse, savonne et astique. Si bien que j'en ai les mains toutes rêches et rougies. Après toutes ces corvées de désinfection, je doute que même l'ombre du virus soit encore présente chez moi.
Allez, ouste, dehors, vade retro, sale virus.
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jeudi, janvier 11, 2007
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