Bien souvent, le premier film d'une série est meilleur et plus juste que les trillions de suites et/ou de remakes qui seront "commis" subséquemment. Après le succès du premier film, il est parfois difficile pour les producteurs d'arriver à un même équilibre ou à un même engouement de la part du public.
Mais pas à tous les coups... Parfois le second, même en étant truffé d'invraisemblances aussi spectaculaires que risibles, peut plaire.
En 2000, le film Les Rivières pourpres est sorti sur nos écrans. J'étais allée le voir au cinéma. Il m'avait quelque peu laissé pantoise. Je n'avais pas tout compris. Certaines scènes semblaient sans queue ni tête. Manque de cohérence. Pas mauvais en soi (un bon thriller), mais j'avais nettement l'impression qu'il manquait des séquences nécessaires à ma compréhension. Ou peut-être est-ce simplement parce que je suis *tellement* bête que je n'ai pas saisi l'essence-même de cette pieuvre. Euh. Je voulais dire oeuvre. Quel étrange lapsus. :-p
Hier, à la télé, j'ai vu la suite: Les Rivières pourpres II: Les anges de l'apocalypse. Bien que le fond de l'histoire soit un peu élimé par les temps qui courrent (une intrigue mystico-religieuse à la Da Vinci Code - que j'ai lu seulement, je ne l'ai pas encore vu), j'ai préféré le second. Aussi glauque, mais moins sombre si cela fait du sens. Euh. :-D
Apparemment, beaucoup ont préféré le premier au second. Oui, j'en conviens, par moments, certaines scènes m'ont paru être un ramassis de détails plus ou moins signifiants.
Les moines qui paraissent tout droit sorti de l'affreux Yamasaki. Mouarf. Rigolo, quand même. Une bonne main d'applaudissement aux cascadeurs qui ont su se démerder avec leur chasuble trop longue pendant les scènes de courses endiablées. Hé hé.
La scène du supermarché. Trop drôle. "Cours Forest, cours." Euh, oups. Me suis trompée de film. :-D
Certaines coïncidences un peu lourdes. Ou prévisibles.
Le jeu de Marie. Non, mais quel incroyable talent d'actrice, hein! P'tain je m'étonne qu'elle n'aie pas remporté d'Oscar pour cette prestation déterminante pour l'avenir du 7e art. La scène dans la baraque près du lac. Ouf. D'une grandiloquance extraordinaire. (Notez le ton légèrement sarcastique).
Vous avez sans doute remarqué que le méchant est toujours un ex-Nazi qui finira tôt ou tard par se suicider? Et que les moines ont toujours quelquechose d'étrange à cacher?
Bon, finalement, je m'explique mal pourquoi j'ai aimé ce film.
En fait, oui, il est vrai que la ligne directrice est un tantinet plus claire que dans le premier. De plus, j'ai trouvé le premier tellement, tellement sinistre, voire sale. Je ne saurais cependant pas expliquer pourquoi. Les Rivières pourpres II: Les anges de l'apocalypse n'a pas la même capacité à déranger, à provoquer un énorme malaise chez le spectateur. Même que cette version no2 s'avère outrageusement drôle si on la compare au premier film. Et certains dialogues m'ont fait pouffer de rire.
La morale de cette histoire: Christopher Lee, même avec un accent allemand, parle sacrément bien français. :-D
Mais pas à tous les coups... Parfois le second, même en étant truffé d'invraisemblances aussi spectaculaires que risibles, peut plaire.
En 2000, le film Les Rivières pourpres est sorti sur nos écrans. J'étais allée le voir au cinéma. Il m'avait quelque peu laissé pantoise. Je n'avais pas tout compris. Certaines scènes semblaient sans queue ni tête. Manque de cohérence. Pas mauvais en soi (un bon thriller), mais j'avais nettement l'impression qu'il manquait des séquences nécessaires à ma compréhension. Ou peut-être est-ce simplement parce que je suis *tellement* bête que je n'ai pas saisi l'essence-même de cette pieuvre. Euh. Je voulais dire oeuvre. Quel étrange lapsus. :-p
Hier, à la télé, j'ai vu la suite: Les Rivières pourpres II: Les anges de l'apocalypse. Bien que le fond de l'histoire soit un peu élimé par les temps qui courrent (une intrigue mystico-religieuse à la Da Vinci Code - que j'ai lu seulement, je ne l'ai pas encore vu), j'ai préféré le second. Aussi glauque, mais moins sombre si cela fait du sens. Euh. :-D
Apparemment, beaucoup ont préféré le premier au second. Oui, j'en conviens, par moments, certaines scènes m'ont paru être un ramassis de détails plus ou moins signifiants.
Les moines qui paraissent tout droit sorti de l'affreux Yamasaki. Mouarf. Rigolo, quand même. Une bonne main d'applaudissement aux cascadeurs qui ont su se démerder avec leur chasuble trop longue pendant les scènes de courses endiablées. Hé hé.
La scène du supermarché. Trop drôle. "Cours Forest, cours." Euh, oups. Me suis trompée de film. :-D
Certaines coïncidences un peu lourdes. Ou prévisibles.
Le jeu de Marie. Non, mais quel incroyable talent d'actrice, hein! P'tain je m'étonne qu'elle n'aie pas remporté d'Oscar pour cette prestation déterminante pour l'avenir du 7e art. La scène dans la baraque près du lac. Ouf. D'une grandiloquance extraordinaire. (Notez le ton légèrement sarcastique).
Vous avez sans doute remarqué que le méchant est toujours un ex-Nazi qui finira tôt ou tard par se suicider? Et que les moines ont toujours quelquechose d'étrange à cacher?
Bon, finalement, je m'explique mal pourquoi j'ai aimé ce film.
En fait, oui, il est vrai que la ligne directrice est un tantinet plus claire que dans le premier. De plus, j'ai trouvé le premier tellement, tellement sinistre, voire sale. Je ne saurais cependant pas expliquer pourquoi. Les Rivières pourpres II: Les anges de l'apocalypse n'a pas la même capacité à déranger, à provoquer un énorme malaise chez le spectateur. Même que cette version no2 s'avère outrageusement drôle si on la compare au premier film. Et certains dialogues m'ont fait pouffer de rire.
La morale de cette histoire: Christopher Lee, même avec un accent allemand, parle sacrément bien français. :-D
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