Je me réfère à cet article.
La sauvegarde du patrimoine est un point qui me tient à coeur et ce, depuis bon nombre d'années. L'histoire et l'évolution du Québec me fascinent, et je veux à tout prix que nous puissions encore dire "Je me souviens" dans cinquante, cent, deux-cent ans... Pour ce faire, il est impératif que la population se conscientise.
Préserver notre mémoire pour que jamais elle ne sombre dans l'oubli.
Je ne suis pas passéiste. Je tiens cependant à ce que nos racines à titre de peuple demeurent bien vivantes.
Lorsque des menaces de destruction ou de reconversion plânent au-dessus d'institutions religieuses vieilles de plusieurs décennies ou qui représentent tout un pan de l'histoire d'une ville, d'un village, je m'inquiète. Je m'interroge.
Je pense notamment à l'église méthodiste de Lachine, reconvertie en temple Sikh, qui fut détruite il y a peu de temps par des promoteurs immobiliers. Condos + Canal Lachine/Lac St-Louis = gros coup d'argent. Cette équation est claire comme de l'eau de roche.
Il est indéniable que la baisse de la pratique religieuse, de même que le vieillissement du clergé ne feront qu'accentuer cette tendance.
Ne pouvons-nous pas, lorsque le lieu s'y prête, transformer l'ancien édifice voué au culte en édifice voué à la culture? Ce ne serait pas, à mon avis, dénaturer l'essence même du bâtiment. Prenons ne serait-ce qu'un exemple, celui du Musée des maîtres et artisans du Québec, situé au coeur de l'ancienne chapelle du collège St-Laurent.
L'entente proposée par Québec et l'Assemblée des évêques catholiques du Québec est un pas dans la bonne direction... reste à savoir si ce chemin est ou non parsemé d'embûches (financières, surtout!)...
La sauvegarde du patrimoine est un point qui me tient à coeur et ce, depuis bon nombre d'années. L'histoire et l'évolution du Québec me fascinent, et je veux à tout prix que nous puissions encore dire "Je me souviens" dans cinquante, cent, deux-cent ans... Pour ce faire, il est impératif que la population se conscientise.
Préserver notre mémoire pour que jamais elle ne sombre dans l'oubli.
Je ne suis pas passéiste. Je tiens cependant à ce que nos racines à titre de peuple demeurent bien vivantes.
Lorsque des menaces de destruction ou de reconversion plânent au-dessus d'institutions religieuses vieilles de plusieurs décennies ou qui représentent tout un pan de l'histoire d'une ville, d'un village, je m'inquiète. Je m'interroge.
Je pense notamment à l'église méthodiste de Lachine, reconvertie en temple Sikh, qui fut détruite il y a peu de temps par des promoteurs immobiliers. Condos + Canal Lachine/Lac St-Louis = gros coup d'argent. Cette équation est claire comme de l'eau de roche.
Il est indéniable que la baisse de la pratique religieuse, de même que le vieillissement du clergé ne feront qu'accentuer cette tendance.
Ne pouvons-nous pas, lorsque le lieu s'y prête, transformer l'ancien édifice voué au culte en édifice voué à la culture? Ce ne serait pas, à mon avis, dénaturer l'essence même du bâtiment. Prenons ne serait-ce qu'un exemple, celui du Musée des maîtres et artisans du Québec, situé au coeur de l'ancienne chapelle du collège St-Laurent.
L'entente proposée par Québec et l'Assemblée des évêques catholiques du Québec est un pas dans la bonne direction... reste à savoir si ce chemin est ou non parsemé d'embûches (financières, surtout!)...
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