(Rien à voir avec une certaine chanson d'Alain Barrière).
Hier, la collègue avec qui je partage le bureau depuis quelques mois à peine m'a annoncé qu'elle avait remis sa démission. Bien qu'elle apprécie son emploi présent, on lui a offert un poste qu'elle ne pouvait refuser. Je la comprends.
Je la comprends, mais je suis un peu triste. C'est la toute première fois en près de 5 ans que l'atmosphère de travail est aussi plaisante au bureau. C'est la toute première fois que je n'ai pas envie de m'arracher les cheveux en arrivant au boulot, à cause d'une collègue avec qui je dois partager cet espace exigu.
On a eu une névrosée qui a préféré reprendre son emploi dans un centre d'appel car, disait-elle, travailler dans notre CPE était trop stressant (qu'on m'en reparle après avoir bossé au pavillon d'hémato-oncologie à l'hôpital Ste-Justine...). On a eu une fille branchée qui était sans doute trop bien pour travailler, car elle passait ses journées à potiner (faudrait tout de même pas qu'elle se casse un ongle, hein!). On a eu quelques écervelées qui notaient TOUT sur des Post-it et innondaient le (déjà très minuscule) bureau de notes colorées (pour ensuite ne plus savoir sur quel Post-it elles avaient noté telle ou telle précieuse information). On a eu une immature qui parlait fort, riait sans cesse pour des insignifiances et qui n'avait ni tact ni diplomatie, tutoyait tout le monde, enfin, vous voyez le genre. On a eu une très aimable personne, trop gentille, trop sensible, trop peu sûre d'elle, qui finissait par nous faire hérisser les poils des bras par trop de gentillesse et de pleurnichage. On a eu quelques autres incompétentes qui, fort heureusement, ne sont pas restées.
Et finalement, on a eu celle avec qui tout était facile. Celle avec qui travailler était un plaisir. Et celle qui part dans moins de deux semaines.
Devinez qui aura plus de boulot au courant des prochaines semaines?
Hier, la collègue avec qui je partage le bureau depuis quelques mois à peine m'a annoncé qu'elle avait remis sa démission. Bien qu'elle apprécie son emploi présent, on lui a offert un poste qu'elle ne pouvait refuser. Je la comprends.
Je la comprends, mais je suis un peu triste. C'est la toute première fois en près de 5 ans que l'atmosphère de travail est aussi plaisante au bureau. C'est la toute première fois que je n'ai pas envie de m'arracher les cheveux en arrivant au boulot, à cause d'une collègue avec qui je dois partager cet espace exigu.
On a eu une névrosée qui a préféré reprendre son emploi dans un centre d'appel car, disait-elle, travailler dans notre CPE était trop stressant (qu'on m'en reparle après avoir bossé au pavillon d'hémato-oncologie à l'hôpital Ste-Justine...). On a eu une fille branchée qui était sans doute trop bien pour travailler, car elle passait ses journées à potiner (faudrait tout de même pas qu'elle se casse un ongle, hein!). On a eu quelques écervelées qui notaient TOUT sur des Post-it et innondaient le (déjà très minuscule) bureau de notes colorées (pour ensuite ne plus savoir sur quel Post-it elles avaient noté telle ou telle précieuse information). On a eu une immature qui parlait fort, riait sans cesse pour des insignifiances et qui n'avait ni tact ni diplomatie, tutoyait tout le monde, enfin, vous voyez le genre. On a eu une très aimable personne, trop gentille, trop sensible, trop peu sûre d'elle, qui finissait par nous faire hérisser les poils des bras par trop de gentillesse et de pleurnichage. On a eu quelques autres incompétentes qui, fort heureusement, ne sont pas restées.
Et finalement, on a eu celle avec qui tout était facile. Celle avec qui travailler était un plaisir. Et celle qui part dans moins de deux semaines.
Devinez qui aura plus de boulot au courant des prochaines semaines?
2 commentaires:
Arf, c'est vraiment dommage que cette fille quitte ! C'est plutôt rare de trouver une personne agréable avec qui travailler... (=_=;;)
Oh que oui... c'est triste =(
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