Hier, je me suis présentée à la clinique de la rue Dollard. La réceptionniste a pris mon nom et ma carte d'assurance-maladie. Les consultations débutaient à 19h00 et puisque j'étais la 11e à avoir été enregistrée à la réception, elle m'a dit de revenir vers 19h50.
Il était environ 17h20. Comme il n'y a rien de plus déprimant que d'attendre des heures dans une salle d'attente mal décorée, assise sur une chaise inconfortable, entourée de gens plus ou moins malades qui veulent me faire la conversation (il fait froid aujourd'hui, hein? mon doux, la grippe est mauvaise cette année!), je me suis dirigée de l'autre côté de la rue, au Café Choco-Latté.
Je crois que c'était à la fin de l'été 2004. L'une de mes collègues m'avait glissé un mot sur ce café, elle connaissait l'un de ceux qui avait démarré cette petite entreprise. Cet hiver, Yannick, Caroline, Marco et moi cherchions un endroit où aller siroter un café, malgré l'heure tardive. Je me suis rappelée de la suggestion de ma collègue, sachant à peu près où le café se situait, sans trop savoir comment il s'appelait. Et voilà. C'était notre première visite au Choco-Latté. Depuis, nous y sommes retournés à plusieurs reprises.
Construit dans un ancien garage, la décoration funky confère à ce lieu une atmosphère dynamique. On y sert de nombreux types de breuvages chauds ou froids aux noms amusants. Des cafés aromatisés à toutes les saveurs imaginables, boissons froides frappées ou sodas italiens, etc. Le menu bouffe propose aussi de délicieux plats: nachos, salades, sandwiches, desserts. Au Café Choco-Latté, tant les boissons que les aliments sont un prétexte pour associer les saveurs les plus diverses; et même les associations les plus inatendues peuvent créer de succulentes surprises!
J'ai donc commandé un café Orange Milano (à saveur orange-chocolat). Yannick est venu me rejoindre et il a pris son éternel Choco-Latté, et une méga assiette de nachos au poulet. De mon côté, j'ai opté pour un sandwich Cran-Chicken.
De retour à la clinique, l'attente n'a pas été trop longue (heureusement). Après avoir expliqué mon "cas" au médecin (en fait, c'était une femme, mais le féminin de médecin, ce n'est pas forcément médecine... ha ha), elle m'a examinée. Bah, juste en m'entendant tousser, elle m'a lancé: "Humm, ça sonne comme une bronchite, ça!" (lire en français avec un accent italo-anglophone). Je faisais ENCORE de la température (incroyable mais vrai, je faisais de la fièvre depuis mercredi soir. Après ça, qu'on vienne me dire que je suis une personne froide! Hé hé.). Après quelques vérifications (respiration, gorge, etc.), son verdict: une bronchite. Arf. Ma troisième bronchite à vie.
Je dois prendre des antibiotiques. J'en aurai sûrement pour encore une semaine ou deux à tousser, mais je devrais graduellement cesser de m'époumonner. Oh well, it's life.
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