En ce moment, je lis un roman intitulé La fin de la folie de Jorge Volpi.
J'ai eu du mal à embarquer dans l'histoire. Je m'attendais à un pur récit politique, mais c'est beaucoup plus complexe... Il s'agit plutôt d'un roman à saveur politico-psycho-philophico-psychanalytique (bwahahaha! n'importe quoi). Le dernier tiers de ce bouquin me paraît plus intéressant (d'autant plus que pendant de nombreuses pages, il est question d'art!).
Lorsque je lis un livre, il m'arrive de souligner des phrases marquantes, des passages qui m'interpellent. En voici justement deux, simples, mais évocateurs à leur manière.
p. 337 : «L'amitié et l'amour sont de très frêles constructions, l'une et l'autre participent de la même folie: croire que l'on peut finir par se connaître.»
p. 371: «Seulement la douleur. C'est tout ce qui me reste, tout ce qui me soutient.»
This page is best viewed with Firefox. And a glass of wine.
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire